Max Ernst

Max ErnstMax Ernst en 1968.
Naissance 2 avril 1891
Brühl (province de Rhénanie, Empire allemand)
Décès 1er avril 1976 (à 84 ans)
7e arrondissement de Paris (France)
Sépulture Columbarium du Père-Lachaise, case funéraire de Max Ernst (d)
Nom de naissance Maximilian Maria Ernst
Nationalité

Drapeau de l'Allemagne Allemand
Drapeau des États-Unis Américain (naturalisé en 1948)

Drapeau de la France Français (naturalisé en 1958)
Activité Peintre, collagiste et sculpteur
Formation Université rhénane Frédéric-Guillaume de Bonn
Représenté par Louisa Guinness Gallery (d), Galerie Sven (d)
Lieux de travail Cologne, Munich, Zurich, Londres, Sedona, Berlin, Seillans, Saint-Martin-d'Ardèche, New York, Paris, Honolulu
Mouvement Dada, surréalisme
Père Philipp Ernst
Fratrie Loni Pretzell (d)
Conjoints Luise Straus-Ernst (de 1918 à 1926)
Marie-Berthe Aurenche (d) (de 1927 à 1936)
Peggy Guggenheim (de 1942 à 1946)
Dorothea Tanning (de 1946 à 1976)
Enfant Jimmy Ernst
Parentèle Amy Ernst (d) (petite-fille)
Distinctions Kaiserring de Goslar (1976)
Biennale de Venise
Lichtwark Award (d)
Œuvres principales
Le Rossignol chinois
L'Éléphant de Célèbes
Une semaine de bonté
signature de Max ErnstSignatureVue de la sépulture.

Maximilian Maria Ernst, dit Max Ernst, né le 2 avril 1891 à Brühl dans l'Empire allemand et mort le 1er avril 1976 à Paris, est un peintre et sculpteur germano-américano-français dont l'œuvre se rattache aux mouvements dadaïste et surréaliste. Allemand de naissance, il acquit la nationalité américaine en 1948 puis française en 1958.

Biographie

Max Ernst est le fils du peintre Philippe Ernst (1862-1942) et de Louise Kopp.

En 1909, il commence à étudier la philosophie à l'université de Bonn, mais il abandonne rapidement les cours pour se consacrer à l'art. Il rencontre les membres du Blaue Reiter en 1911 avec qui il expose à Berlin, en 1913. La même année, il fait la connaissance de Guillaume Apollinaire et Robert Delaunay, part pour Paris et s'installe dans le quartier du Montparnasse.

Durant la Première Guerre mondiale, il sert dans l'artillerie allemande, sur le front russe, puis en France. En 1918, il épouse Luise Straus, historienne d'art, avec qui il aura un fils, Jimmy. Leur relation tumultueuse ne tiendra pas et le couple se sépare en 1922. Luise Strauss poursuivra sa carrière de journaliste avant de décéder dans un camp de concentration nazi vingt ans plus tard.

La période dadaïste et surréaliste

Démobilisé, Max Ernst demeure à Cologne et s'intéresse au mouvement Dada. En 1919, il rend visite à Paul Klee à Munich et crée ses premières peintures, impressions à la main et collages ; il expérimente différents supports et matériaux. En 1920, il fonde le collectif Zentrale W/3 avec deux autres « stupides Occidentaux » (« Weststupidien »), Jean Arp et Baargeld. Au mois de février, ils publient une nouvelle revue La Chamade (Dilettantes, unissez-vous!), avec quelques contributeurs français, au rang desquels André Breton, Paul Éluard et Louis Aragon. La deuxième exposition dada de Cologne (Dada-Vorfrühling) s'ouvre au mois d'avril 1920 à la brasserie Winter. Il y expose les collages collectifs, rebaptisés plaisamment FaTaGaGa (FAbrication de TAbleaux GArantis GAzométriques), qu'il a réalisés avec Jean Arp. L'exposition déchaîne l'indignation : elle est fermée par la police pour trouble à l'ordre public et provoque la brouille de Max Ernst avec son père.

Avec son comparse Baargeld, Ernst organise la Première internationale dadaïste à Berlin à la fin du mois de juin 1920. Quelques mois plus tard, en vacances à Tarrenz, dans le Tyrol, il y fait la connaissance de Tristan Tzara, et retrouve Hans Arp, Sophie Taeuber et André Breton.

Max Ernst et ses amis parisiens devant la galerie Au Sans Pareil (1921). L'homme sur la bicyclette est Philippe Soupault ; à droite sur l'escabeau, André Breton.

L'enthousiasme provoqué auprès du futur groupe surréaliste (et en premier lieu auprès d'André Breton et Paul Éluard) par sa première exposition parisienne en 1921 à la galerie Au Sans Pareil le pousse à s'installer l'année suivante à Montparnasse, où il vit chez le couple Éluard. Il publie cette année-là Les Malheurs des immortels, suite de collages et de poèmes écrits par Paul Éluard. Soutenu par ce dernier, il exerce divers petits métiers tout en continuant de peindre.

En 1925, Max Ernst expérimente la pratique du « frottage » : il laisse courir une mine de crayon à papier sur une feuille posée sur une surface quelconque (parquet ou autre texture). Cette technique, qui fait apparaître des figures plus ou moins imaginaires, s'apparente à l'écriture automatique des écrivains surréalistes. Elle donne lieu à la publication d'Histoire naturelle, portfolio de 34 frottages publié l'année suivante par les éditions Jeanne Bucher.

En 1926, il collabore également avec le peintre Joan Miró pour la création de décors pour les spectacles chorégraphiques de Serge de Diaghilev. Avec l'aide de Miró, Max Ernst se lance dans l'élaboration d'une nouvelle technique, le « grattage » du pigment directement sur la toile. Cette participation entraine lors de la première un chahut organisé par les surréalistes, André Breton déplorant que les deux peintres aient « pactisé avec les puissances d’argent ».

Max Ernst renoue avec la pratique du collage en 1929 avec La Femme 100 têtes (éditions du Carrefour), « roman-collage » réalisé à partir de gravures tirées de revues scientifiques et de romans populaires français de la fin du XIXe siècle. Si ce livre, légendé par Ernst lui-même et préfacé par André Breton, n'est pas le premier à raconter une histoire au moyen de collages, son ampleur (quelque 147 collages) est sans précédent. Un an plus tard, l'artiste donne à partir des mêmes sources un deuxième roman-collage plus bref, Rêve d'une petite fille qui voulut entrer au Carmel (éditions du Carrefour), qui se caractérise par des légendes plus narratives et un ton violemment anticlérical, tout le livre étant une parodie de la vie de la petite Thérèse de Lisieux. Ernst clôt ce cycle en composant au cours de vacances en Italie un troisième et dernier roman-collage, Une semaine de bonté (éditions de la galerie Jeanne Bucher, 1934), qui propose 182 images cette fois-ci dépourvues de toute légende. Avec le groupe surréaliste, il participe d'octobre à novembre 1933 au 6e Salon des surindépendants.

En 1934, au contact d'Alberto Giacometti, il commence à sculpter. En 1937, il rencontre Leonora Carrington avec qui il part vivre à Saint-Martin-d'Ardèche où il achète une maison qu'il décore de fresques et de bas-reliefs. Il illustre l'ouvrage La dame ovale de Leonora Carrington. En 1938, la mécène américaine Peggy Guggenheim achète un bon nombre d'œuvres de Max Ernst qu'elle expose dans sa nouvelle galerie d'art à Londres. La même année, Max Ernst quitte le groupe des surréalistes, refusant de se plier aux injonctions d'André Breton qui veut le convertir au trotskisme et le séparer d'Éluard.

Motifs en reliefs réalisé par Max Ernst lors de son séjour à Saint-Martin-d'Ardèche pendant la Seconde Guerre mondiale.

La période américaine

Dès le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939, Max Ernst est arrêté comme « étranger ennemi » et interné dans le camp des Milles près d'Aix-en-Provence en compagnie de Hans Bellmer, dont il dessine un portrait durant leur captivité. Au cours de cette période, il sera temporairement interné dans le camp de Loriol-sur-Drôme. Des Alliberts, hameau de Saint-Martin-d'Ardèche, il écrit au préfet de l'Ardèche le 17 février 1941 pour solliciter un visa pour les États-Unis, qu'il obtient le 1er mars 1941 (Archives de l'Ardèche). Avec l'aide du journaliste américain Varian Fry, fondateur du Comité américain de secours à Marseille en août 1940, il réussit à quitter le pays en compagnie de Peggy Guggenheim. Ils arrivent aux États-Unis en 1941. Accueillis par Jimmy, le fils de Max Ernst, ils voyagent à travers les États-Unis et se marient l'année suivante – là encore, le mariage sera de courte durée.

Max Ernst vit à New York où, aux côtés de Marcel Duchamp, André Breton et de nombreux intellectuels français,, il prépare le terrain à l'expressionnisme abstrait de peintres américains comme Jackson Pollock. Ernst expérimente d'ailleurs le dripping plus tard adopté par Pollock, en laissant couler sur une toile de la peinture à partir d'un récipient troué. En 1942, le magazine View, dirigé par le poète surréaliste américain Charles Henri Ford (en), lui consacre un numéro spécial. Ses expositions rencontrent cependant peu de succès.

Images externes
Max Ernt et Dorothea Tanning, sculpture Capricorne, Sedona, photographie John Kasnetsis.
Max Ernst et Dorothea Tanning jouant aux échecs, Sedona, photographie Bob Towers.

Son mariage avec Peggy Guggenheim est un échec. En octobre 1946, il épouse Dorothea Tanning à Beverly Hills (Californie). Le couple Ernst-Tanning s'installe à Sedona (Arizona). Inspiré par la faune et la flore de la région, il crée des sculptures. En 1948, il est naturalisé américain, écrit le traité Beyond Painting, puis part voyager en Europe en 1950. Il expose ses travaux américains à la galerie René Drouin à Paris. En 1952, il devient satrape du Collège de 'Pataphysique.

Il décède le 1er avril 1976 à son domicile parisien situé rue de Lille.

Œuvres

Décors au théâtre

Expositions

Le musée Max Ernst (de) à Brühl.

Distinctions

Notes et références

Notes

  1. Dans ses Notes pour une biographie (Ernst 1970, p. 50-53), Max Ernst relate sa rencontre avec Raymond Roussel à la galerie Van Leer en 1926. Roussel le questionne sur l’utilisation de « certains procédés techniques particuliers pour obtenir ses œuvres » et lui achète ce collage. Ernst, qui ignorait qui était Roussel, poursuit en comparant un procédé d’écriture (fait de « combinaisons phoniques »), employé par Roussel et expliqué dans Comment j'ai écrit certains de mes livres, à sa technique du collage et du frottage, qui permettent de réaliser des « combinaisons optiques ».
  2. D’abord nommée Art abstrait, art concret. Max Ernst consacre un paragraphe sur la technique de l’oscillation – utilisée pour réaliser cette œuvre – dans ses Notes pour un biographie, tissu de vérité, tissu de mensonges (texte et illustration dans Spies 1991, p. 322-323 et Spies 2007, p. 170-171). Voir la page Max Ernst (section Notes pour une biographie) sur Wikiquote.
  3. Max Ernst reprend plusieurs techniques surréalistes qu’il a expérimentées dans ses œuvres précédentes, de sorte que « dans les petits casiers de cet agencement, a placé ce qu’il voulait sauver de son univers et de sa vision du monde. »
  4. Il existe deux versions de cette œuvre réalisée l’année de son mariage avec Dorothea Tanning : une huile sur toile de petit format 28,5 × 56 cm (reproduction dans Drost 2016, p. 123 et Spies 1991, p. 259); et une autre, d’un plus grand format « et avec de légères variantes — addition de formules mathématiques et d’un cœur rouge —, qui configure une monumentale déclaration d’amour », de 91,5 × 162,5 cm (reproduction et détails des symboles mathématiques, sorte d’équation de l’amour, dans (en) Lynn Gamwell (en), Mathematics + Art: A Cultural History, Princeton University Press, 2016 (ISBN 978-0-691-16528-8, lire en ligne), p. 475).
  5. Inaugurée en 1968 à Amboise, elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 9 juillet 1987. Composée notamment des sculptures : Grand Génie (intitulée Le Grand Assistant dans une version de 1974 offerte au musée national d'art moderne, et Le Génie de la Bastille dans une version de 1960), de Grande Tortue, de Grande Grenouille et des Deux assistants. Avec cette fontaine, l’artiste souhaite rendre hommage à la région et à Léonard de Vinci. En 1969, il déclare ainsi : « J’y ai vu l’occasion d’un hommage à Léonard de Vinci, et en même temps à la Touraine qui l’avait accueilli, comme elle devait m’accueillir moi-même quatre siècles plus tard, à mon retour d’Amérique. ». La sculpture du Génie est une allusion à Léonard de Vinci, et le livret d’inauguration y fait aussi clairement référence avec l’inscription d’une citation sous la reproduction des Deux assistants : « Tu verras de grandes apparitions ayant forme humaine et plus elles seront proches de toi, plus elles rapetisseront » et, écrit à l’envers, comme le faisait de Vinci : « Ce sont les ombres de l'homme ». Max Ernst avait d’ailleurs illustré une édition des Prophéties en 1960.

Références

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Annexes

Bibliographie

Filmographie

Liens externes

Bases de données et dictionnaires