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(à 90 ans) 12e arrondissement de Paris |
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Marcel Haedrich (Munster, – Paris 12e, [1]) est un journaliste français, chroniqueur à la radio et écrivain.
Né à Munster, il est le fils d'un employé, Eugène Haedrich et de Julie Grandpierron. Devenu allemand après le rattachement de l’Alsace-Lorraine à l’Empire germanique en 1871, son père meurt au cours de la Première Guerre mondiale, le dans la Somme, sous l'uniforme de la Deutsches Heer.
En 1939, Marcel Haedrich est fait prisonnier et est expédié dans un Oflag près de Lübeck. Libéré après six mois de captivité, il entre à Munster, puis passe en zone libre à Lyon où il travaille dans une usine de produits chimiques. Ayant déposé dans la boîte aux lettres du Figaro alors replié à Lyon, ses impressions de prisonnier de guerre rapatrié, le journal les publie. Son style ayant plu, il est engagé comme reporter par un magazine d'actualité. Il publie aussi chez un éditeur de Grenoble un livre sur les camps de prisonniers intitulé "Baraque III, chambre 12", lequel est traduit et publié pendant la guerre aux États-Unis[2].
Clandestin, résistant, il se lie d’amitié avec François Mitterrand et crée en 1944 le premier journal de la France (partiellement) libérée : L'Homme Libre. Le no 1 paraît le . Il dirige ensuite Libres, à Paris, de 1944 à 1945.
Journaliste vedette de la « grande presse », il lance à la libération Samedi Soir. Il a également été grand reporter à Paris-Presse de 1950 à 1953, a dirigé la rédaction de Marie-Claire lorsque le magazine se voit de nouveau publié en 1954, durant dix ans, et a été chroniqueur - éditorialiste à Europe 1 (émission : Midi 25, voici Marcel Haedrich).
Le , il est fait chevalier de la Légion d'honneur, puis officier le .
Marcel Haedrich meurt à Paris le vallée de Munster.
. À sa demande, ses deux fils ont dispersé ses cendres dans la