Liste d'as de l'aviation
Le "premier As",
Adolphe Pegoud après avoir reçu sa
Croix de Guerre.
Le statut d'as de l'aviation s'obtient en principe au bout de cinq victoires en combat aérien et ce en référence au nombre de signes sur la carte à jouer « As ». Mais ce comptage ne prend pas en compte les victoires « probables » (la victoire n'a pas été confirmée par d'autres observateurs que le pilote), ou bien les enregistre comme une demi-victoire.
Il est difficile de comparer les scores d'un pays à l'autre car les critères d'homologation sont différents (voir l'article « victoire aérienne »). C'est vrai aussi d'une guerre à l'autre : ainsi, les critères d'homologation en France ont considérablement changé entre la Première et la Seconde Guerre mondiale. En ce qui concerne les listes suivantes, seuls sont pris en compte les cinq meilleurs As par nation et conflit. Des listes plus complètes et plus étoffées sont données dans des articles inscrits, en bas de page, comme Articles connexes.
As de l'aéronavale japonaise,
Hiroyoshi Nishizawa survole en
1943 les
Îles Salomon à bord de son
Mitsubishi A6M3. Après la
bataille des Salomon orientales, l'aviation japonaise opère encore dans ce secteur du Pacifique.
As de la Première Guerre mondiale (1914-1918)
Article détaillé :
Liste des as de la Première Guerre mondiale.
Empires centraux
Article connexe :
Empires centraux.
As allemands
Manfred von Richthofen, dit « le Baron rouge ». Son palmarès est l'un des plus fournis de la
Grande Guerre.
Le
Fokker Dr.I du Baron rouge.
Trois cent quatre-vingt-treize aviateurs allemands ont revendiqué au moins cinq victoires pendant la Grande Guerre. Le système d'homologation des victoires de l'armée allemande est, avec le système français, l'un des plus rigoureux de tous les belligérants, comme le prouvent les recherches récentes entreprises en vérifiant les pertes correspondantes dans les aviations ennemies.
As austro-hongrois
NH = non homologuées.
Quarante-neuf pilotes ressortissants de l'empire austro-hongrois ont atteint le rang d'as pendant la Grande Guerre.
Turquie, Bulgarie
Aucun pilote de ces nations entrées en guerre du côté des empires centraux n'a pu obtenir le rang d'as.
Pays de l'Entente
Article connexe :
Triple-Entente.
As français
René Fonck, As des As français et le 1er ou 2e As mondial (selon le système d'homologation utilisé).
NH = non homologuées.
L'aviation française a compté 175 as de nationalité française dans ses rangs pendant la Grande Guerre, plus quelques pilotes américains (six) et russes (deux) ainsi qu'un Suisse ayant servi dans ses escadrilles et atteint le rang d'as. Sur les cent-soixante-quinze as français, trente-trois sont morts au combat pendant la guerre et sept autres par accident de vol. Vingt-trois autres ont été tués après la guerre dans des accidents d'avion ainsi qu'un autre tué en combat aérien durant la Seconde Guerre mondiale. Ces hommes, qui représentent moins de 3 % des pilotes de chasse formés en France, ont totalisé près de la moitié des victoires homologuées, plus précisément 1 263 victoires homologuées sur un total général revendiqué de 2 818.
Le système d'homologation de victoire français était le plus strict de tous les belligérants, il nécessitait soit que l'appareil abattu tombe du côté allié de la ligne de front soit qu'il tombe dans les lignes ennemies mais confirmé par au minimum deux témoins au sol. Ceci explique la différence importante entre les victoires homologuées et les victoires probables, notamment chez les pilotes comme Fonck, Guynemer, Madon ou Dorme.
As du Commonwealth
1 031 aviateurs de l'empire britannique ont revendiqué au moins cinq victoires, soit plus que toute autre nation. Néanmoins, le système d'homologation des victoires en cours dans l'armée britannique était beaucoup plus laxiste que celui des autres belligérants. Ainsi un avion ennemi laissé en vrille ou tout simplement mis en fuite était considéré comme une victoire (« Out of control »), contrairement aux systèmes en vigueur chez les Allemands, Français ou Italiens qui exigeaient des preuves de la destruction de l'appareil ennemi (restes de l'appareil abattu retrouvés, témoignages multiples de sa chute exigés…)
As américains
123 pilotes américains atteignirent le rang d'as pendant la Première Guerre mondiale. Des citoyens américains se battirent au sein du Royal Flying Corps britannique ou de l'Aéronautique militaire française, avant de rejoindre l'United States Army Air Service. Le palmarès des pilotes ayant servi dans les unités britanniques est soumis aux mêmes remarques que les pilotes du Commonwealth.
As italiens
Francesco Baracca, le meilleur pilote de chasse italien de la Première Guerre mondiale. Il est tué au combat à l'âge de 30 ans.
quarante-quatre pilotes italiens ont remporté le titre d'as pendant la Première Guerre mondiale. Toutes les revendications de victoires des aviateurs italiens ont été vérifiées après la guerre par les autorités militaires italiennes qui ont examiné les archives autrichiennes : certains palmarès ont été revus à la baisse. Il en résulte une très grande précision des victoires des aviateurs italiens. Une recherche effectuée récemment a même démontré un tableau de chasse inférieur à la réalité (34 au lieu de 36) en ce qui concerne le premier d'entre eux, Francesco Baracca.
As russes
Dix-neuf pilotes russes ont revendiqué au moins cinq victoires, dont deux alors qu'ils servaient dans des unités françaises.
As belges
Willy Coppens en 1918.
La liste ci-dessus est exhaustive, la petite force aérienne belge ayant compté cinq as dans ses rangs. Adolphe du Bois d'Aische, parfois cité comme un as belge, était de nationalité française pendant la Grande Guerre.
As grecs
L'aviation grecque comportait quatre escadrilles sous les ordres des forces françaises, engagées en Macédoine, ainsi que d'autres unités dépendant de l'aviation britannique et faisant face à la Turquie. C'est dans l'une de ces unités que servit le commandant Moraitinis.
As roumains
La Roumanie n'avait qu'un seul as officiel.
Serbie, Monténégro, Portugal, Japon, Chine
Aucun pilote de ces nations n'atteint le rang d'as, bien que plusieurs d'entre eux aient remporté quelques victoires aériennes pendant la Grande Guerre. Beaucoup furent néanmoins considérés comme des héros de guerre comme l'aviateur portugais Oscar Monteiro Torres.
As de l'Entre-deux-guerres (1919-1939)
Forgé pendant la Première Guerre mondiale, le terme d'as connaît une postérité importante dans la culture populaire comme dans les armées mondiales après 1919.
Guerre civile d'Espagne (1936-1939)
As républicains
As espagnols républicains
Volontaires soviétiques
As nationalistes
As espagnols nationalistes
Volontaires allemands - Légion Condor
Article connexe :
Légion Condor.
Volontaires italiens
Guerre sino-japonaise (1937-1941)
Article connexe :
Guerre sino-japonaise (1937-1945).
As japonais
As chinois
Volontaires soviétiques
Combats de Khalkin-Gol (1939)
Article connexe :
Bataille de Khalkhin Gol.
As japonais
As soviétiques
As de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945)
Article détaillé :
Liste des as de la Seconde Guerre mondiale.
Nations de l'Axe
Article connexe :
Axe Rome-Berlin-Tokyo.
As allemands
Article détaillé :
Liste des as de la Luftwaffe.
Les as allemands atteignent des scores très élevés pour des raisons de tactique. Les avions de chasse volaient en solo ou en escadrilles peu nombreuses, surtout sur le front de l'Est, et recherchaient en priorité le combat contre des appareils adverses. De plus, contrairement aux Alliés dont le nombre de missions était limité et prédéfini, les pilotes allemands volèrent pendant plusieurs années consécutives, accumulant expérience et combats.
Les Alliés envoyaient les pilotes expérimentés au repos après un « tour d'opération ». Il consistait le plus souvent à revenir dans les écoles et former une nouvelle promotion. La méthode économisait les hommes et diminuait les pertes globales, mais limitait le score des meilleurs. La méthode de l'Axe privilégiait le maintien au front des meilleurs pilotes, leur permettant d'atteindre des scores élevés, mais au prix de la vie de l'immense majorité des pilotes.
D'autre part, beaucoup de ces victoires ont été obtenues sur le front de l'Est avant que l'Armée rouge ne se dote d'appareils récents et de pilotes bien mieux formés que les Allemands. La différence de victoires était telle qu'un pilote allemand pouvait obtenir en un jour un nombre de victoires équivalant à ce que pouvait obtenir un pilote allié durant toute la guerre. Par vingt-cinq fois au moins, quinze as de la Luftwaffe revendiquèrent entre dix et dix-huit succès en une seule journée.
Les cinq plus grands as allemands de la Seconde Guerre mondiale sont les cinq premiers noms de la liste ci-dessous. Les autres noms sont notés pour les remarques mais ne sont pas à la suite immédiate. Il y a en effet 105 as allemands ayant plus de 100 victoires à leur actif. Ces 105 plus grands as allemands totalisent plus de 15 000 victoires.
Nom
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Grade
|
Missions
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Victoires
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Remarques
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Erich Hartmann
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Major
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1 400
|
352
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Plus grand as allemand et mondial.
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Gerhard Barkhorn
|
Major
|
1 104
|
301
|
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Günther Rall
|
Major
|
621
|
275
|
Otto Kittel
|
Oberleutnant
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583
|
267
|
Tué le 14 février 1945
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Walter Nowotny
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Major
|
442
|
258
|
Tué le 8 novembre 1944
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Erich Rudorffer
|
Major
|
1 000
|
222
|
Dernier des as allemands (mort en 2016)
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Walter Krupinski
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Hauptmann
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1 100
|
197
|
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Hans-Joachim Marseille
|
Hauptmann
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388
|
158
|
Il est considéré comme étant le principal as allemand de l'Afrika Korps. Mort en s'éjectant le 30 septembre 1942 .
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Werner Mölders
|
Oberst
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430
|
115
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Le 5 juin 1940, Mölders, abattu par le pilote français René Pomier Layrargues sur Dewoitine D 520, est fait prisonnier par l'armée française. Après la capitulation de la France le 30 juin 1940, Mölders et ses camarades rejoignent leurs unités. Il devient inspecteur général de la chasse. Premier officier et militaire de toute l'armée allemande à avoir reçu les « brillants ». Mort dans un accident d'avion le 22 novembre 1941 .
Les titulaires de cette très haute distinction ne seront que 27 à la fin de la guerre.
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Adolf Galland
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Generalleutnant
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705
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104
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Commandant de la chasse allemande à partir de 1942.
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Franz Beyer
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Major
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81
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Commandant du V./JG 3. Tué le 11 février 1944
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Erbo von Kageneck
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Hauptmann
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67
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Touché par un Spitfire britannique au-dessus de Tobrouk (décembre 1941), il est blessé et mortellement contaminé par une balle traçante au phosphore. Son vainqueur est l'as no 1 australien Clive Caldwell.
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Hans-Joachim Jabs
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Oberstleutnant
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510
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50
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Bataille de France, d'Angleterre, de Crête et défense de Berlin.
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Franz von Werra
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Hauptmann
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21
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Seul prisonnier des Britanniques à avoir réussi à rentrer en Allemagne après s'être évadé. Mort des suites d'une panne moteur de son avion le 25 octobre 1941 .
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Hans-Ulrich Rudel
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Oberst
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2 530
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9
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Toute sa carrière a été accomplie non pas dans la chasse mais dans le bombardement en piqué, sur Junkers Ju 87 « Stuka ». Seulement neuf avions abattus mais 2 000 cibles au sol revendiquées, dont 519 chars, un cuirassé, deux croiseurs, un destroyer. Militaire allemand le plus décoré de la 2e Guerre mondiale.
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As italiens
As japonais
As de l'Aéronavale
Article détaillé :
Liste des as des forces armées japonaises.
As de l'Armée
As finlandais
As hongrois
As roumains
As slovaques
As espagnols - Division Azul
Article connexe :
Division Bleue (Seconde Guerre mondiale).
As croates
As bulgares
Nations alliées
As du Commonwealth
As américains
Richard Bong.
Article détaillé :
Liste des as américains de la Seconde Guerre mondiale.
Les pilotes américains sont issus de trois corps d'armée : US Army Air Force, United States Navy, US Marine Corps. Certains pilotes américains ont volé dans des unités de la Royal Air Force. Les deux premiers as américains le sont devenus sur P-38, alors que tous les chasseurs bimoteurs de la guerre ont été considérés comme nettement inférieurs aux monomoteurs pour le combat aérien proprement dit.
As français
Article détaillé :
Liste des as français de la Seconde Guerre mondiale.
Les pilotes français ont servi dans plusieurs unités : RAF (Royal Air Force) en Grande-Bretagne, Normandie-Niemen (Régiment Normandie-Niémen : régiment mixte franco-russe) en Russie et les Forces aériennes françaises libres (FAFL) en Afrique du Nord puis en Europe.
As soviétiques
Les as soviétiques sont surnommés les « Faucons ». Ils atteignent des scores moins élevés que leurs adversaires allemands notamment pour des raisons de tactique, l'armée de l'air soviétique escortant des convois, ou faisant de l'appui au sol. Les pilotes de chasse n'avaient pas pour mission de rechercher le combat à tout prix. De plus, l'aviation de chasse soviétique était beaucoup plus nombreuse que l'aviation allemande (donc beaucoup de chasseurs pour peu de cibles). Sur la durée cependant, les scores russes de la seconde guerre furent les plus hauts des forces alliées (en moyenne deux fois plus élevés).
L'Union Soviétique fut la première nation à inclure du personnel féminin parmi ses pilotes.
As polonais
Stanislas Skalski avec ses nombreuses
marques de victoires peintes sur la carlingue de son avion.
Articles détaillés :
303e escadrille de chasse polonaise et
302e escadrille de chasse polonaise.
As belges
Les as belges ont obtenu la majorité de leurs victoires en servant dans la RAF britannique, l'aviation belge de 1940 n'ayant pu opposer qu'une résistance dérisoire face à la Luftwaffe.
As tchécoslovaques
Josef František a combattu avec les Polonais au sein de la 303e escadrille de chasse polonaise de la RAF.
As norvégiens
As danois
As chinois
As de la guerre froide (1946-1990)
Article détaillé :
Liste des As de la Guerre Froide.
As de la guerre de Corée (1950-1954)
Article connexe :
Guerre de Corée.
As américains
As soviétiques
As chinois
As nord-coréens
As du Moyen-Orient (1948-1982)
As israéliens
As arabes
As de la guerre du Viêt Nam
Article connexe :
Guerre du Viêt Nam.
As américains
As nord-vietnamiens
As de la guerre Iran-Irak (1980-1988)
Jalil Zandi, Le pilote de chasse iranien ayant compté le plus de victoires en combat aérien, avec onze victoires.
Article connexe :
Guerre Iran-Irak.
As iraniens
Dans la culture populaire
Notes et références
- Daniel Porret et Franck Thévenet, Les as de la guerre, 1939-1945, Service historique de l'Armée de l'air, 1993, p. 5.
- Charles Nungesser (1892-1927) - BnF.
- David Méchin, « Les as français de 14-18 », As14-18.net, 13 décembre 2018.
- Damien Accoulon, « L'As, figure iconique dans la culture de l'entre-deux-guerres : France, Allemagne », dans Tony Morin, Fait aérien, arme aérienne et culture, Paris, La Documentation française, coll. « Stratégie aérospatiale », 2021 (ISBN 978-2-11-157157-0, lire en ligne), p. 173-186.
- (en) Matthews, Andrew Johannes; Foreman, John, Luftwaffe As : Biographies and Victory Claims (ISBN 978-1-906592-19-6)
- (en) Tom Cooper et Farzad Bishop, Iranian F-14 Tomcat units in combat, Oxford, Osprey Publishing, coll. « Combat aircraft » (no 49), 2004, 96 p. (ISBN 978-1-84176-787-1 et 1-8417-6787-5), p. 85-88.
- (en) Arabian Peninsula & Persian Gulf Database: Iranian Air-to-Air Victories, 1982-Today - Acig.org, 16 septembre 2003.
- (en) Arabian Peninsula & Persian Gulf Database: Iranian Air-to-Air Victories, 1976-1981 - Acig.org, 16 septembre 2003.
Annexes
Bibliographie
- (en) Mike Spick, The Complete Fighter Ace, Greenhill Books, 2000.
- (en) Mike Spick, The Ace Factor, Shrewsbury, 1988.
- (en) Mike Spick, Allied Fighter Aces, Greenhill books, 1997.
- (en) Christopher Shores, Air Aces, Bison Books, 1983.
- René Mouchotte, Commandant du groupe Alsace, Carnets, 1949.
- Pierre Clostermann (as no 1 des Forces aériennes françaises libres avec 33 victoires), Le Grand Cirque, 1948, Feux du ciel, 1951.
- Roger Sauvage (as du régiment de chasse 2/30 Normandie-Niémen avec 18 victoires), Un du Normandie-Niemen, 1950.
- Pierre Razoux, Ciel de gloires. Histoire des as au combat, Flammarion, 2015, 386 pages.
- Pierre Razoux, Le siècle des as, Paris, Perrin, 2019, 464 p. (ISBN 978-2-2620-4827-3).
Articles connexes
Liens externes