L'importance de Jean Philip dans la société actuelle est indéniable. Chaque jour, Jean Philip devient un sujet de débat et de réflexion dans différents domaines, que ce soit en politique, en science, en divertissement ou en culture. Jean Philip éveille l'intérêt et la curiosité des gens, qui cherchent à comprendre son impact sur leur vie et sur le monde qui les entoure. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Jean Philip, de son origine à son évolution aujourd'hui. Nous analyserons son influence sur nos décisions quotidiennes, ainsi que sur le développement de la société dans son ensemble.
Maire | |
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Sénateur de la Troisième République |
Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Activité | |
Père |
Numa Florian PHILIP |
Mère |
Jeanne Stéphanie Ernestine DE BARJEAU |
Conjoint | Antoinette Noëlie Alphonsine JACOT (9/9/1868 - 23/10/1926) Date de Mariage : 22 Juillet 1891 |
Enfant | Jeanne Ernestine Stéphanie, épouse Charles Tison Maïa |
Religion |
protestant |
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Jean Philip de Barjeau est un homme politique français né le à Mauvezin (Gers) et décédé le dans la même commune.
Un temps pasteur protestant dans le Gers, Charles-Paul-Jean Philip de Barjeau délaisse cette vocation pour le journalisme. Un temps secrétaire de Ferdinand Buisson, ce dernier le recommande à Georges Clemenceau qui le fait entrer à l'Aurore. En 1906, Clemenceau le prend comme chef de cabinet au ministère de l'Intérieur, puis le nomme sous-préfet à Reims. Jean Philip de Barjeau devient ensuite consul de France à Monaco, puis à Venise.
Il fut sénateur du Gers de 1920 à 1940. Il fut également maire de Mauvezin et conseiller général du Canton de Mauvezin
Il épouse Antoinette Noëlie Alphonsine Jacot (9/9/1868 -23/10/1926) le 22 juillet 1891. Elle était fille du pasteur du Temple du Port Royal à Paris, Frantz Jacot (1838-1903) et d'Angeline Gourdon (1844-1900). Elle avait un goût prononcé pour les arts, la peinture, la musique et la photographie. Elle décède de la tuberculose.