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Enfant | Jeanne Burgart Goutal Mathilde Burgart |
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Jean-Pierre Burgart est un écrivain et peintre figuratif français, né le à Boulogne-Billancourt.
Fils unique de l'actrice Orane Demazis, alors parvenue à la célébrité en particulier pour son rôle de Fanny, il n'est pas reconnu à la naissance par son père, Marcel Pagnol, toujours marié (depuis 1916) avec Simonne Collin[1], qui refuse le divorce[note 1].
Inscrit au lycée Louis-le-Grand, Jean-Pierre Burgart entre à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1954[2], où il suit les cours de Louis Althusser. Il fréquente alors la famille de Francis Ponge, lequel deviendra un de ses inspirateurs[3]. Durant la guerre d'Algérie, il est affecté en tant qu'élève au centre de formation des psychologues de la Marine à Toulon puis versé au journal Cols bleus à Paris.
Libéré des obligations militaires, il travaille six mois comme stagiaire à Paris Match, où il croise Alexandre Vialatte, avant d'être affecté à un poste de rédacteur auprès du ministre de l'Éducation, de 1960 à 1962. De 1962 à 1974, il mène une carrière à la RTF puis à l'ORTF. Il est chargé d'élaborer, après 1967 sous la responsabilité et avec l'appui d'Yves Jaigu, des programmes réalisés par des talents externes à la maison. C'est ainsi que, par exemple, il fait tourner par Roberto Rossellini La prise de pouvoir par Louis XIV[4] pour la télévision française et introduit comme scénariste Louis Guilloux au sein de cette dernière. Après un démantèlement de l'ORTF, prélude à la privatisation[5], qu'il déplore, il travaillera pour diverses agences de communication.
Dès la fin des années cinquante, il participe à des éditions d'art, notamment de Jean Hélion[3] qui fera son portrait en 1960, et publie ses premiers poèmes. Tout en contribuant à de nombreuses revues de peinture ou de littérature[3] tels Les Cahiers du Sud, Les Temps modernes, La Revue de Belles Lettres, L'Arc et, occasionnellement, à l'écriture de scénarios, comme pour son ami Pierre Prévert, il parvient à une forme d'écriture contemplative et mélomaniaque par laquelle, « entre le désir de créer et la vaste substance du monde, ... aucun sens ne cherche à exclure l'autre. »[3].
En 1971, il se charge de traduire Paul Celan pour l'édition qu'en publie André du Bouchet, autre écrivain, tout comme Pierre Reverdy, avec lequel il partage des affinités et sur lequel il publiera également un essai[3].
Entre 1974 et 1986, il publie avec Daniel Blanchard une revue d'art, Liasse[3], qui sortira huit cahiers présentant des textes d'auteurs choisis[note 2], souvent illustrés de dessins et d'estampes[note 3].
Une impasse dans l'écriture, la naissance d'un enfant, lui sont l'occasion, en 1983, de redécouvrir le plaisir de dessiner de l'enfance puis d'oser peindre à son tour. C'est son ami le peintre Charles E. Marks qui fera exposer ses premières toiles en 1997.
( : document utilisé pour la rédaction de l'article)