Dans cet article, nous explorerons en profondeur Jean-Claude Valla et son impact sur la société actuelle. Jean-Claude Valla est un sujet d'intérêt et de discussion depuis de nombreuses années, et sa pertinence reste palpable aujourd'hui. De ses origines à son évolution au fil du temps, Jean-Claude Valla a laissé une marque significative sur divers aspects de la vie humaine, affectant tout, des relations interpersonnelles aux dynamiques politiques et économiques. A travers cette analyse détaillée, nous chercherons à mieux comprendre le rôle de Jean-Claude Valla dans le monde d'aujourd'hui et à réfléchir à son influence dans le futur.
Secrétaire général Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne | |
---|---|
- | |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Pseudonyme |
Jacques Devidal |
Nationalité | |
Activité |
A travaillé pour |
Minute (- Marianne (- Magazine hebdo (- Le Figaro Magazine (- Éléments (- Valeurs actuelles (- |
---|---|
Parti politique | |
Idéologie | |
Membre de |
Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (jusqu'en ) Association des amis de Robert Brasillach (d) |
Jean-Claude Valla, né le à Roanne (Loire) et mort le à Pau[1], est un journaliste français. Figure importante de la Nouvelle Droite, il a été le premier directeur de la rédaction du Figaro Magazine, et a signé de nombreux livres sur l'histoire.
Étudiant en histoire à Lyon, il a été pendant l'année universitaire 1963-1964 président de la Corpo de Lettres et responsable de la Fédération générale des étudiants de Lyon (FGEL), affiliée à la Fédération nationale des étudiants de France (FNEF).
Membre de la Fédération des étudiants nationalistes (FEN), il en a été l'un des responsables de la section de Lyon (1962-1965)[2]. En 1966, il a collaboré aux Cahiers universitaires et à Europe-Action, puis il a été directeur-gérant de L'Observateur européen et du Courrier international, publications du Centre des hautes études américaines devenu le Centre des hautes études internationales en 1968, présidé par Georges Bonnet[3].
Cofondateur du GRECE (Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne) avec notamment Alain de Benoist en 1968, il en a été d'abord le secrétaire « études et recherche » de 1971 à 1973, puis le secrétaire général de 1973 à 1978.
En 1973, il cofonde Europe-Jeunesse[4].
Il quitte le GRECE en 1986, tout en en restant proche. Il a appartenu à l'Association des amis de Saint-Loup[5], et participé au volume Rencontres avec Saint-Loup (1991)[6].
En 1991, dans le cadre d'une polémique avec Georges Charbonneau, il prend ouvertement la défense des thèses négationnistes[7]. Par ailleurs, Jean-Claude Valla prit la défense de Robert Faurisson dans un numéro du Figaro Magazine et en 2002, il défend, dans les colonnes de la revue Éléments, le négationniste Jean Plantin[8].
En 1999, il signe pour s'opposer à l'intervention de l'OTAN dans la guerre du Kosovo la pétition d'extrême droite « Les Européens veulent la paix », initiée par le collectif d'extrême droite Non à la guerre[9].
Il a été, tour à tour, journaliste à Valeurs actuelles (1970-1973), rédacteur en chef d'Éléments (1973-1978), rédacteur en chef, puis directeur de la rédaction du Figaro Magazine (de sa création en 1978 à 1980, avec son ami Yann Clerc), secrétaire général des rédactions de Biba, Enfants-magazine, Jacinte et Vingt ans (1980-1982), directeur général de Magazine Hebdo (1983-1985), président-directeur général du mensuel Marianne (1985-1986), dont le titre a été repris en 1997 par Jean-François Kahn, puis directeur de la rédaction de La Lettre de Magazine Hebdo (1988-1999) et de Minute (1993-1999).
Il a été également cofondateur (1976)[10] et premier directeur[réf. nécessaire] des éditions Copernic (1976-1978)[11], chroniqueur au magazine Le Choc du mois (1990-1993) et président d'honneur du Comité des Fils & Filles de Victimes des bombardements de la seconde guerre mondiale (2001-2005).
Ancien collaborateur des revues Historia, Historama, Miroir de l'histoire et Enquête sur l'histoire, il a dirigé les Cahiers Libres d'Histoire (2000-2010) et a collaboré à partir de 2002 à La Nouvelle Revue d'histoire dirigée par Dominique Venner. Il a utilisé le pseudonyme Jacques Devidal[12].
Il a aussi été rédacteur en chef de La Grande Bourgogne[13].
Il a défendu la thèse d'une colonisation du Pérou par les Vikings, en particulier dans son premier ouvrage La Civilisation des Incas[14].