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Membre de l'École française de Rome |
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Marie-Joseph-Charles-Jacques Zeiller |
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Jacques Zeiller, né le à Paris et mort le à Saint-Michel-sur-Orge est un historien français de l'antiquité romaine et du christianisme. Ses recherches portent surtout sur les origines et les débuts du christianisme.
Né le à Paris, Jacques Zeiller est le fils du paléobotaniste Charles René Zeiller. Sa mère, Marie, est la sœur du philosophe catholique Léon Ollé-Laprune.
Élève du collège Louis-le-Grand puis du collège Stanislas, il est reçu à l'agrégation d'histoire et de géographie et devient, à partir de 1902, membre de l'École française de Rome où il est le condisciple de Jérôme Carcopino et de Léonce Celier. À la demande de René Cagnat, il publie en 1903 Les Inscriptions latines d'Afrique, un ouvrage utilisé par les officiers des brigades topographiques en Algérie et Tunisie.
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en 1914, Jacques Zeiller s'engage dans l'armée. Affecté à la 185e brigade, il est secrétaire d'État-major mais il est réformé l'année suivante pour raisons de santé et retourne à ses études. En 1916, son beau-frère Pierre-Maurice Masson est tué d'un éclat d'obus en Lorraine ; il fera publier ses Lettres de guerre, – (Hachette, 1918).
En 1918, il soutient sa thèse de doctorat intitulée Les origines chrétiennes dans les provinces danubiennes de l'Empire romain.
Professeur d'histoire pendant quinze ans à l'université de Fribourg en Suisse (1905–1920), puis directeur d'études d'épigraphie latine et d'antiquités romaines à l'École pratique des hautes études (1919–1948), Jacques Zeiller succédera à Stéphane Gsell pour la publication des Inscriptions latines d'Afrique.
Membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres (élu en 1940), il présidera en 1954 la délégation française au Congrès international d'archéologie chrétienne à Aix-en-Provence.
De 1943 à 1954, Jacques Zeiller fut le président général de la Société de Saint-Vincent-de-Paul.
Il a reçu en 1911 le prix Juteau-Duvigneaux de l'Académie française pour son ouvrage L'idée de l'État dans Saint-Thomas d'Aquin[1], et le prix Halphen de l'Académie française en 1935 pour son ouvrage L'Église primitive[1], coécrit avec le théologien Jules Lebreton.
Jacques Zeiller meurt à son domicile de Saint-Michel-sur-Orge dans l'Essonne, le , à l'âge de 84 ans.