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En 1984, il devient l'assistant de Kazuo Kamimura[2]. En 1985, il remporte avec Sea of Garbage(ゴミの海, Gomi no Umi?), publié dans un supplément du magazine Morning, le 12e Chiba Tetsuya Award (ちばてつや賞, Chibatetsuyashō?), prix qui récompense le meilleur rookie (mangaka débutant) de l'année[3]. Il sérialise ensuite Fūko no Iru Mise(風子のいる店?) dans Morning entre 1986 et 1988 et sera publié en 4 volumes chez Kodensha[4].
Il publie à partir de 1990 la série Parasite(寄生獣, Kiseijū?) qui sera un succès[1] ; l'histoire est adaptée en 2014 par le studio Madhouse[5] en série TV d'animation de 24 épisodes[6] intitulée Parasite - La Maxime(寄生獣 セイの格率, Kiseijū: Sei no Kakuritsu?) (sortie DVD et BD en 2016[7]) et en un film (live-action) Kiseiju(寄生獣?)[8] diffusées en deux parties (2014[9] et 2015[10]) ; en 2018 la suite Parasyte Reversi(寄生獣リバーシ, Kisei-jū ribāshi?)[11]. Toujours en 1990, il publie un recueil d'œuvres courtes Sound of Bones(骨の音, Hone no Oto?) sur le même thème que Parasite.
L'auteur publie plusieurs manga sans rencontrer son public : Tanabata no kuni(七夕の国?) est publié entre 1997 et 2000, Neo Devilman(ネオデビルマン?) en 1999 et Yuki no touge, tsurugi no mai(雪の峠・剣の舞?) en 2001. Après cette traversée du désert[12], l'auteur se tourne vers un style historique et publie Eurêka !(ヘウレーカ, Heurēka?) en 2002[13].
2003-en cours : Historiē(ヒストリエ, Hisutorie?) (11~ vol., Afternoon)
2003 : Me wo Mite Hanase(目を見て話せ?), pré publié dans le magazine Ace Tokunou ; 1 volume publié chez Kadokawa Shoten[BU 4].
2011 : Black Jack ~ Blue Future ~(ブラック・ジャック~青き未来~, Burakku jakku ~ aoki mirai ~?), pré publié dans le magazine Shuukan Shounen Champion ; 1 volume publié chez Akita Shoten[BU 5].
2015 : Reiri(レイリ?), pré publié dans le magazine Bessatsu Shounen Champion ; 6 volumes publiés chez Akita Shoten[BU 6].
Son style est simple, puissant et épuré. Il s'oppose aux tendances des années 1990 plutôt orientées vers les couleurs vives.
Il utilise des concepts créatifs[Lesquels ?] afin d'obtenir des scénarios originaux.
Il est reconnu au Japon[18] et son succès lui permet de s'émanciper des contraintes éditoriales[19].
Xavier Guilbert chronique un Parasite au dessin parfois peu sûr mais au scénario mesuré[20] et dont la qualité du récit et la narration en font le chef-d'œuvre de l'auteur[21].
↑Alfaric, « Eurêka ! - Hitoshi Iwaaki », sur Les portes du Multivers, (consulté le ) : « Hitoshi Iwaaki est essentiellement un mangaka des années 1980 qui a connu son heure de gloire avec la série à la fois horrifique et existentialiste Kiseiju / Parasite au début des années 1990 ».
↑« Reconnu au Japon pour la grande qualité de ses œuvres » — Neoandrerson 2014
↑« Hitoshi Iwaaki publie aujourd’hui loin des contraintes éditoriales japonaises classiques. Auteur complet, sa renommée et son talent lui permettent de prendre tout son temps pour se documenter, écrire, construire et dessiner son histoire. » — Neoandrerson 2014
↑« De par sa relative brièveté (10 volumes «seulement»), la série évite de tomber dans la surenchère facile où se succèderaient des parasites de plus en plus puissants, et se renouvelle suffisamment pour maintenir tension et variété dans la narration. Mais c’est plus au niveau de l’impact visuel qu’elle se montre une réussite, dépassant un dessin pas toujours très assuré. » - Guilbert 2001
↑« Parue il y a une dizaine d’années, il est indéniable que Kiseijû accuse aujourd’hui son âge face à la sombre élégance de séries plus récentes comme MPD-Psycho. Néanmoins, restent la retenue de sa narration et une certaine naïveté (notamment dans le traitement du duo central formé par Shin’Ichi et son parasite), et surtout une qualité du récit qui hausse le magnus opus de Iwaaki Hitoshi bien au-dessus des défoulements inutiles que peuvent être les actuels ARMS et autres Gantz. » - Guilbert 2001