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Un hangar à dirigeable est une construction créée pour y abriter un dirigeable. Ce type de construction est apparu pour la première fois, dans les années 1880, à Meudon en France[1]. Il a permis à deux militaires français, les capitaines Charles Renard et Arthur Constantin Krebs de construire le dirigeable militaire La France, premier dirigeable ayant réalisé un vol en circuit fermé en 1884, entre Meudon et Villacoublay. Le second, en 1899, en Allemagne, est un hangar flottant construit sur le lac de Constance, pour y abriter le premier dirigeable Zeppelin.
En France, la conception des structures des hangars à dirigeables a bénéficié des travaux de l'ingénieur Gustave Eiffel, spécialiste des constructions métalliques de grande taille : ponts, halles etc. Après avoir achevé sa tour Eiffel pour l'exposition universelle de 1889, Gustave Eiffel a créé deux laboratoires aérodynamiques successifs à Paris, d'abord sur le Champ de Mars puis dans le Quartier d'Auteuil, pour étudier les effets du déplacement de l'air sur différents corps : profils d'ailes, hélices, maquettes d'avions, bombes... Les travaux de Gustave Eiffel ont permis de réaliser des hangars à la structure légère mais solide, capables de résister aux vents les plus violents[2].
Pendant l'entre-deux-guerres, la marine des États-Unis a utilisé trois grands dirigeables pour faire de la reconnaissance océanique, d'où l'aménagement d'une usine et de deux bases aéronavales (Naval Air Station) :
Le début de la Seconde Guerre mondiale a pour conséquence un programme de surveillance côtière utilisant des dirigeables à enveloppe souple (blimp modèle K) pour lutter contre les sous-marins, avec huit nouvelles bases construites en 1941-1943, pour un total de 17 hangars, la majorité en bois :