Dans le monde d'aujourd'hui, Hamda Saïed occupe désormais une place fondamentale dans diverses sphères de la vie quotidienne. Que ce soit sur le lieu de travail, dans la sphère académique, culturelle ou sociale, Hamda Saïed est devenu un sujet pertinent et intéressant pour un large éventail de personnes. Son impact et sa pertinence ont suscité l’intérêt des chercheurs, des professionnels et du grand public, qui cherchent à comprendre son importance et ses répercussions. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le rôle que joue Hamda Saïed dans la société actuelle, en analysant son évolution, ses défis et ses solutions possibles. De plus, nous examinerons comment Hamda Saïed a façonné et continuera de façonner le paysage actuel, ainsi que les avantages et les défis liés à sa présence dans différents contextes.
Hamda Saïed حمدة سعيد | |
![]() | |
Fonctions | |
---|---|
Mufti de la République tunisienne | |
– (2 ans, 6 mois et 4 jours) |
|
Président | Moncef Marzouki Béji Caïd Essebsi |
Prédécesseur | Othman Battikh |
Successeur | Othman Battikh |
Député | |
– (5 ans) |
|
Élection | 2 avril 1989 |
Législature | VIIIe |
Groupe politique | RCD |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Béni Khiar, Tunisie |
Nationalité | tunisienne |
Parti politique | RCD puis Indépendant |
Profession | Universitaire |
Religion | Islam |
modifier ![]() |
Hamda Saïed (arabe : حمدة سعيد), né le à Béni Khiar, est un religieux et universitaire tunisien.
Originaire de Béni Khiar, dans le gouvernorat de Nabeul, il obtient une licence en charia et théologie en 1966 puis un doctorat en jurisprudence islamique en 1987[1].
Devenu professeur universitaire en 1989, il est élu à la Chambre des députés la même année, sur une liste du Rassemblement constitutionnel démocratique, à l'occasion des premières élections législatives tenues sous la présidence de Zine el-Abidine Ben Ali[2].
Il assume plus tard un rôle d'imam dans une mosquée de Béni Khiar après la révolution de 2011, tout en président l'association coranique du gouvernorat de Nabeul[1].
Il est nommé mufti de la République par le président par intérim, Moncef Marzouki, le , peu avant le début du mois de ramadan, en remplacement d'Othman Battikh[3],[1]. Ce dernier le remplace finalement le [4].