Guy Cogeval

Guy Cogeval Description de l'image Guy Cogeval.jpg. Données clés
Nom de naissance Guy Louis Antonio Cogeval
Naissance 13 octobre 1955
Paris
Nationalité Française, canadienne
Pays de résidence France
Diplôme Licence d'histoire (1981)
Diplôme d’Études Appliquées en histoire de l'art (1982)
Conservateur du Patrimoine (1985)
Conservateur en chef du Patrimoine (1996)
Conservateur général du Patrimoine (2008)
Profession Conservateur général du Patrimoine
Activité principale Président de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie
Autres activités Commissaire d'exposition
Formation Institut d'études politiques de Paris
Université Paris-Sorbonne
Ecole du Louvre
Académie de France à Rome (villa Médicis)
Distinctions Officier de l’ordre national de la Légion d'honneur (2004)
Officier de l’ordre national du Québec (2006)
Officier de l'ordre des Arts et des Lettres de France (2008)
Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres (2014)
Commandeur de l'ordre de l’Étoile de la solidarité italienne (2015)

Guy Cogeval est un historien de l’art et conservateur général du Patrimoine, né le 13 octobre 1955 à Paris.

Président de l’Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie de 2008 à 2017, spécialiste de l'art du XIXe siècle, notamment des nabis et en particulier d’Édouard Vuillard, il est directeur du Centre d'études des nabis et du symbolisme.

Biographie

Famille et études

Guy Cogeval est le fils de Georges Cogeval, agent immobilier, et de Rosalba Mino, traductrice italienne.

Après avoir passé les cinq premières années de sa vie en Italie, Guy Cogeval grandit dans le 9e arrondissement de Paris. Il intègre l'Institut d'études politiques de Paris, dont il est diplômé en 1977 (section Service public).

Il devient professeur de sciences économiques au lycée Rocroy-Saint-Léon à Paris (1977-1982), mais continue ses études avec des formations en histoire et histoire de l'art à la Sorbonne (université Paris IV-Sorbonne) et à l'Ecole du Louvre. Il obtient son DEA en histoire de l'art en 1982, avant d'être accueilli comme pensionnaire à l'Académie de France à Rome (villa Médicis) en tant qu'historien de l'art (1982-1984). Il est reçu major au concours de conservateur en 1985.

Guy Cogeval est un historien de l'art émérite, reconnu comme étant le spécialiste des nabis et en particulier d’Édouard Vuillard. Il est le coauteur avec Antoine Salomon et Mathias Chivot du Catalogue critique des peintures et pastels d’Édouard Vuillard ; il est commissaire de la grande rétrospective consacrée au peintre, présentée en 2003 aux Galeries nationales du Grand Palais à Paris.

Homosexuel affirmé, Guy Cogeval est une figure de la communauté gay ayant perdu nombre de ses amis durant les années sida. En octobre 2013, il se marie avec son compagnon.

Débuts de carrière (1985-1992)

Guy Cogeval commence sa carrière comme stagiaire responsable de la section « cinéma » au musée d’Orsay (1985-1986), puis comme conservateur adjoint de Philippe Durey au musée des Beaux-Arts de Lyon (1987-1988), où il est notamment commissaire de Triomphe et mort du héros, exposition sur la peinture d'histoire en Europe.

Il rejoint le musée du Louvre, où il devient sous-directeur des services culturels (1988-1992]), chargé des conférences et des colloques, tout en enseignant l'art du XIXe siècle à l’École du Louvre (1988-1998).

Direction du musée des monuments français (1992-1998)

Guy Cogeval est nommé directeur du musée national des monuments français à Paris (1992]-1998). Il intensifie la politique d'exposition et fait doubler la fréquentation du musée.

L'une de ses principales expositions Architecture de la Renaissance italienne, de Brunelleschi à Michel-Ange, est également présentée au Palazzo Grassi de Venise, à la National Gallery of art de Washington et à l'Altes Museum de Berlin.

Son projet de création du Centre national du Patrimoine, développé en 1995], préfigure la création de la Cité de l'architecture et du patrimoine de Chaillot en 1997, avec le soutien du ministère de la Culture.

Direction générale du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2006)

Guy Cogeval part au Québec pour prendre la tête du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2006). Il est un des rares conservateurs français à avoir dirigé un grand musée étranger. Membre du Groupe Bizot depuis 1999, réunissant les directeurs des plus grands musées du monde, il devient également conseiller auprès de la Réunion des musées nationaux (RMN) où il assure la programmation des Galeries nationales du Grand Palais (2004-2006).

Il monte de nombreuses expositions dont Hitchcock et l'art, Picasso érotique, Vuillard et Le Paysage en Provence. Il est à l'origine de trois expositions majeures en France : Il était une fois Walt Disney au Grand Palais, Maurice Denis au musée d'Orsay et Riopelle à Marseille. À la tête du Musée des beaux-arts, Guy Cogeval parvient à augmenter le nombre des Amis du musée de 28 000 en 1998, à 45 000 en 2006 ; et acquérir plus de dix mille œuvres.

Guy Cogeval annonce sa démission le 10 novembre 2006, quelques mois avant l'échéance de son mandat. Il rentre en France à la fin de l'année 2006, devient pensionnaire à l'INHA et est remplacé à la tête du Musée des beaux-arts de Montréal par Nathalie Bondil, son ancienne adjointe et conservatrice en chef.

Présidence de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie (2008-2017)

Le 28 janvier 2008, Guy Cogeval est nommé président de l’Établissement public du musée d'Orsay, par décret présidentiel sur proposition de Christine Albanel, à compter du 7 mars 2008, succédant ainsi à Serge Lemoine pour une durée de trois ans renouvelables. Il est nommé membre du conseil artistique des musées nationaux en avril, et en juin de la même année il est également nommé conservateur général du Patrimoine.

La nomination d'un conservateur à la tête du musée rassure le monde de l'art, qui craignait une nomination politique. Présenté comme « flamboyant », il entend ouvrir le musée à des disciplines peu représentées jusqu'alors comme l'opéra, le théâtre ou le cinéma.

Le 1er juin 2010 est créé l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie, comprenant également le musée Hébert, dont Guy Cogeval est nommé Président. À ce titre, son mandat est prolongé jusqu'au 15 mars 2013, date à laquelle il est reconduit à la tête de l’Établissement public pour trois nouvelles années sur proposition du ministère de la Culture et de la Communication. Il est de nouveau prolongé en mars 2016 pour une seule année puisqu'il prend en 2017 la tête d'un centre d'étude sur les nabis.

Ayant survécu à un cancer au début des années 2000 et un AVC en 2014, Guy Cogeval s'estime être un survivant.

Grands axes de la présidence des musées d'Orsay et de l'Orangerie

Les avis sur son travail sont présentés comme contrastés.

Il est reconnu que la présidence de Guy Cogeval a insufflé une nouvelle dynamique de rayonnement au musée d'Orsay, grâce notamment à la rénovation en profondeur du musée, menée à bien sous son impulsion, à la programmation d'expositions temporaires ayant rencontré un large succès critique et public à Paris, en France et à l'étranger, à la mise à disposition du contenu scientifique sur les réseaux sociaux et internet des Musées, et au développement d'activités musicales, théâtrales et cinématographiques à l'auditorium du Musée d'Orsay.

Son bilan en matière de gestion financière comme sa politique énergique d'acquisitions font également l'objet de jugements positifs.

D'autres aspects de la gestion de Guy Cogeval ont fait l'objet de critiques : une gestion vigoureuse des ressources humaines et une programmation faisant parfois l'objet d'improvisation, pouvant aboutir à une préparation précipitée de certaines expositions.

Le Canard enchaîné a publié un article en novembre 2013 faisant le lien entre une soirée privée organisée au musée d'Orsay et le mariage homosexuel de Guy Cogeval. Relayée par Libération, cette information a donné lieu à un droit de réponse de Guy Cogeval qui réfute ces allégations.

Grands travaux de réaménagements et de rénovations : le nouvel Orsay

Dès son arrivée à la tête du musée d'Orsay, Guy Cogeval a entrepris une politique de grands travaux qui a conduit à la rénovation et au réaménagement de plus de 80 % du musée.

Entamé en 2008, ce programme de travaux qui comprend notamment la création du pavillon Amont, dévolu aux Arts décoratifs, la transformation de la Galerie impressionniste par l'architecte Jean-Michel Wilmotte (prolongée par une salle d'exposition temporaire), la rénovation du Café de l'Horloge par les frères Campana, la mise sous verre d'une grande partie des tableaux et le ré-accrochage de la quasi-totalité des collections entre 2009 et 2011 pour aboutir à la naissance du nouvel Orsay, ouvert en octobre 2011. Cette réouverture du musée s'est accompagnée d'une grande campagne de communication intitulée « Nous avons revu Orsay, tout est à revoir ».

Les travaux se sont poursuivis par exemple avec la rénovation des salles situées au rez-de-chaussée du musée d'Orsay, désormais appelées salles Luxembourg, effectuée entre 2011 et 2014.

Politique d'acquisition et de valorisation des fonds

Le musée d'Orsay a acquis plus de 6 000 œuvres nouvelles depuis 2008, dans toutes les catégories (peintures, pastels, architecture, sculptures et médailles, objets d'art et photographies). Ces acquisitions ont notamment renforcé les collections d'art étranger, comblant ainsi certaines lacunes. Plusieurs pièces emblématiques de l’Art décoratif italien de 1900 ont pu être acquises comme Les mille et une Nuits de Vittorio Zecchin. Le musée a acquis de nombreuses pièces de mobiliers et d’objets d’art, témoins de la transition de l’Art nouveau vers l’Art déco. Dans le domaine de la peinture, Guy Cogeval a complété la collection des œuvres d'artistes nabis, avec des œuvres de Paul-Élie Ranson (La Sorcière au chat), Maurice Denis (Dame au jardin clos, Yvonne Lerolle en trois aspects), Édouard Vuillard et Pierre Bonnard (Danseuses).

Le musée d'Orsay a bénéficié de la donation anonyme sous réserve d’usufruit d’un ensemble de 25 tableaux de Vuillard, 25 tableaux de Bonnard et d’une centaine de dessins de ces deux artistes, cette donation du collectionneur Jean-Pierre Marcie-Rivière, annoncée en janvier 2011, a été réalisée lors du décès du donateur le 6 janvier 2016. Celle-ci est constituée d'un ensemble de 141 œuvres de Bonnard et de Vuillard.

C'est par la dation en paiement de droits que l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie a acquis cinq toiles du peintre William Bouguereau, une toile tardive de Paul Cézanne (Paysan assis), un paysage des débuts d'Auguste Renoir (Le Poirier d’Angleterre) et, en 2016, L'Autoportrait octogonal de Vuillard.

Grâce à la persévérance de Guy Cogeval qui connaissait le couple américain depuis 2001, Marlene et Spencer Hays fait un don exceptionnel au musée d'Orsay, estimé à 173 millions d'euros. Cette donation est annoncée le samedi 20 octobre à l'Élysée par le président de la République François Hollande. Il s'agit des œuvres qui avaient été exposées en 2013 au musée d'Orsay dans le cadre de l'exposition Une passion française. Ce sont ainsi 187 œuvres (peintures, papiers, sculptures) qui entreront dans les collections à la mort des deux donateurs : 23 Vuillard, 12 Bonnard, 4 Maurice Denis. Outre les nabis, il y a aussi des œuvres d'Odilon Redon, Edgar Degas, Gustave Caillebotte, Camille Corot, Aristide Maillol, Amedeo Modigliani, Albert Marquet, entre autres.

Politique d'expositions

À la présidence des musées d'Orsay et de l'Orangerie, Guy Cogeval fait le choix de multiplier l'offre d'expositions temporaires, en alternant expositions monographiques et expositions thématiques originales et souvent audacieuses.

Si cette originalité dans le choix des expositions était déjà présente chez Guy Cogeval lorsqu'il était directeur du Musée des beaux-arts de Montréal, elle a été réaffirmée en 2013 lorsqu'il s'est dit confronté au conservatisme à Montréal, rendant impossible la programmation d'une exposition sur le nu masculin. Ces déclarations ont été contestées par le musée, qui a affirmé que Guy Cogeval n'avait jamais évoqué ce sujet et a rappelé que des œuvres érotiques sont régulièrement présentées au musée.

Cette politique d'exposition contribue au renouvellement des publics et au rayonnement de l'institution. Les grandes expositions temporaires des Musées d'Orsay et de l'Orangerie ont permis d'augmenter le nombre de visiteurs.

Augmentation de la fréquentation

La fréquentation au musée d'Orsay a connu une progression notable sous la présidence de Guy Cogeval, passant de 3 millions de visiteurs en 2008 à environ 3,5 millions de visiteurs en 2014 et notamment 1,7 million de visiteurs pour les expositions temporaires. Cette hausse de la fréquentation a également marqué le musée de l'Orangerie passant ainsi de 690 000 visiteurs en 2010 à plus de 800 000 visiteurs en 2014. Cette fréquentation reste stable en 2015.

Politique territoriale et rayonnement à l'étranger

Membre du groupe Bizot depuis 1999, qui réunit les directeurs des plus grands musées du monde, et fondateur en 2008 du « club 19 » regroupant les principaux directeurs de musées de région possédant une grande collection du XIXe siècle, Guy Cogeval s'est attaché à renforcer et privilégier des partenariats avec des musées régionaux français. Guy Cogeval a ainsi développé un partenariat avec le musée des impressionnismes Giverny, le musée Bonnard du Cannet, le palais Longchamp à Marseille et le musée Courbet d'Ornans.

Cette politique d'expositions se poursuit au-delà des frontières. Guy Cogeval a ainsi multiplié le nombre d'expositions présentées par le musée d'Orsay à l'étranger notamment au Brésil, en Corée, à Singapour, au Mexique. Cette politique accroit le rayonnement culturel de la France à l'international. Elle permet aussi de faire sortir certaines œuvres des réserves et de les restaurer afin de les présenter dans un musée étranger comme ce fut le cas de l'exposition Courbet, Millet et le naturalisme français, présentée au Shanghaï Art Museum. Ces expositions ont reçu 1,5 million de visiteurs en 2014.

Certaines pratiques d'exposition et de prêt d’œuvres à l'étranger font l'objet de critiques, notamment en ce qui concerne les œuvres dont l'état rend le déplacement délicat. Ce débat au sujet du prêt d’œuvres qui met en jeu la question du rayonnement de l'art et de la marchandisation en vue de sauvegarder le patrimoine, par l'accroissement des ressources propres, touche actuellement la plupart des grands musées français. Guy Cogeval affirme cependant prendre toutes les précautions nécessaires en ce qui concerne le déplacement des œuvres, et sa politique de valorisation de ses collections a été citée en exemple par un rapport de l'inspection générale des finances.

Développement des ressources propres et du mécénat

Sous la présidence de Guy Cogeval, l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie a vu son degré d'autofinancement progresser fortement, les ressources propres passant de 24 millions d'euros soit 56 % du financement total en 2008 à 39 millions d'euros soit 66 % du financement total en 2014. Le mécénat s'est diversifié, notamment de par la mise en place de structures spécifiques comme the American Friends of the Musée d'Orsay en 2009, le Cercle des Femmes mécènes en 2013 et le Cercle italien des mécènes.

Expositions

Commissariat d'expositions

Programmation d'expositions

Direction du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2007) Présidence de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie (depuis 2008)

Publications

En français

Autres langues

Films

Distinctions

Notes et références

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Liens externes