Dans le monde d'aujourd'hui, Grive est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Grive a fait l'objet d'études, de débats et de controverses. Au fil des années, il a prouvé sa pertinence dans différents domaines, de la politique à la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de Grive, en analysant son évolution dans le temps et son influence sur la société actuelle. Depuis ses premières manifestations jusqu’à ses conséquences actuelles, Grive continue d’être un sujet d’intérêt pour les chercheurs, les universitaires et le grand public.
Taxons concernés
Plusieurs espèces des genres
Le nom de Grive a été donné à plusieurs espèces appartenant à la famille des Turdidae et proches du Merle noir (Turdus merula).
Parmi les espèces rencontrées en Europe citons principalement la Grive mauvis (Turdus iliacus), la Grive musicienne (Turdus philomelos), la Grive draine (Turdus viscivorus) et la Grive litorne (Turdus pilaris).
Ce nom a été donné également en Amérique francophone aux espèces des genres Catharus et Hylocichla (grives américaines) mais aussi à la seule espèce du genre anciennement Cichlherminia lherminieri (reclassifié dans le genre Turdus lherminieri)[1],,[2],[3],[4], en Asie à des espèces du vaste genre Zoothera et à une espèce vivant sur Tristan da Cunha, la Grive de Tristan da Cunha.
Grive Rouge est le nom d'un cultivar de pommier.
Le terme grive dérive du latin graecus, terme signifiant « de Grèce », donné à ce type d'oiseaux migrateurs dont on pensait qu'il hivernait en Grèce[5].
Voici une liste partielle des espèces dont le nom normalisé français comporte le terme grive :
Un certain nombre de termes dérivés sont également utilisés pour désigner des oiseaux comme "grivelé" comme pour le Barbion grivelé, le Chevalier grivelé ; "griveaud" comme pour un nom possible pour la sous-espèce Accipiter francesii griveaudi, l'Épervier de griveaud ; "grivetin" comme pour l'Agrobate grivetin ; "grivette" comme pour la Grivette des bois.
Les grives étant supposées querelleuses, certains auteurs rapprochent le terme grief de grive, sans toutefois que la preuve puisse en être apportée[5]. Le terme grive peut également désigner un soldat ou un gendarme[5], ou un pillard, un païen. Les grives sur une vigne ne l'épargnent pas et n'en laissent rien.
En 1998 en France, les grives étaient au 3e rang du tableau de chasse annuel avec 4 537 960 animaux[réf. nécessaire][6].
En 2018, avec le déclin du nombre de chasseurs et de la population de grive Draine, le prélèvement annuel était d'environ 2 310 000 animaux [7].
Au XIXe siècle, dans le Sud-Ouest, pendant les vendanges, elles étaient chassées aux « cédales », pièges artisanaux en bois. Des baguettes de bois souples tendues par une ficelle à la façon d'un arc, à laquelle on attachait quelques crins de cheval, étaient installées dans les vignes ou les haies de fruits mûrs en automne. L'arc en bois, placé vers le bas est un perchoir naturel pour l'oiseau qui passe la tête dans le collet pour attraper les fruits. L'oiseau restait pendu, pris au piège. Le reste de l'année, elles sont chassées à l'approche ou depuis des cabanes[8].
Sur le pourtour méditerranéen, elles font l'objet de la chasse traditionnelle à la glu, pratique néanmoins interdite dans l'Union européenne en 2009 par la directive oiseaux.