Dans le monde d'aujourd'hui, Graphe dual est devenu un sujet d'actualité constante dans différents domaines de la société. L'importance de Graphe dual se reflète dans son impact sur la vie quotidienne des gens, ainsi que dans son influence sur la prise de décision aux niveaux politique, économique et social. De son origine historique à son évolution aujourd'hui, Graphe dual a fait l'objet d'études, de débats et de réflexions à travers le monde. Dans cet article, différents aspects liés à Graphe dual seront abordés, dans le but d'analyser sa signification, ses implications et sa pertinence aujourd'hui.
En théorie des graphes, le graphe dual d'un graphe plongé dans une surface est défini à l'aide des composantes de son complémentaire, lesquelles sont reliées entre elles par les arêtes du graphe de départ.
Cette notion généralise celle de dualité dans les polyèdres.
Il faut noter qu'un même graphe abstrait peut avoir des graphes duaux non isomorphes en fonction du plongement choisi, même dans le cas de plongements dans le plan.
Un graphe (plongé) isomorphe à son dual est dit autodual.
Étant donné un graphe plongé dans une surface connexe, chaque composante connexe (ou cellule) du complémentaire est munie d'un point définissant un sommet du graphe dual. Chaque arête du graphe initial définit une arête du graphe dual reliant les composantes du complémentaire qui la bordent[1]. Les arêtes du graphe dual peuvent être plongées dans la surface de façon que chacune coupe uniquement l'arête correspondante du graphe initial, et en un seul point.
Le dual est défini pour un plongement donné, et deux plongements donnés d'un même graphe peuvent donner naissance à des duaux non isomorphes. Dans la figure ci-contre par exemple, le premier dual a un sommet de degré 6 (car la face externe est bordée par 6 arêtes) tandis que le deuxième a des sommets de degré 5 au maximum.
Par contre, la somme des degrés des sommets du dual sera toujours la même, égale au double du nombre d'arêtes du graphe de départ.
De plus, un même plongement peut donner naissances à deux graphes duaux qui sont certes combinatoirement isomorphes, mais non topologiquement équivalents, dans le plan (ils le seraient dans la sphère).