Dans le monde d'aujourd'hui, Gimigliano est devenu un sujet pertinent et indispensable dans la société contemporaine. Son influence couvre différents domaines, de la politique et de l’économie à la culture et à la technologie. Chaque jour, Gimigliano fait l'objet de débats, d'analyses et de réflexions de la part d'experts du domaine, ainsi que de citoyens ordinaires cherchant à comprendre son impact sur leur vie. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Gimigliano, de ses origines à ses répercussions actuelles, dans le but de faire la lumière sur ce phénomène et son importance aujourd'hui.
Gimigliano | |
![]() | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | ![]() |
Province | ![]() |
Code postal | 88045 |
Code ISTAT | 079058 |
Code cadastral | E031 |
Préfixe tel. | 0961 |
Démographie | |
Gentilé | Gimiglianesi |
Population | 2 947 hab. (31-12-2024[1]) |
Densité | 88 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 38° 58′ 00″ nord, 16° 32′ 00″ est |
Altitude | 600 m |
Superficie | 3 350 ha = 33,5 km2 |
Divers | |
Saint patron | San Giuseppe |
Fête patronale | 19 mars |
Localisation | |
![]() Localisation dans la province de Catanzaro. | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
modifier ![]() |
Gimigliano (en calabrais : Jimiglianu) est une commune italienne de 2 947[2] habitants située dans la province de Catanzaro en Calabre.
Gimigliano est perché sur le mont San Salvatore, montagne du versant méridional de la Sila Piccola surplombant la vallée du Corace. Le noyau urbain de la commune se compose de deux entités distinctes : le haut Gimigliano (Susu en dialecte) et le bas Gimigliano (Jusu en dialecte[3]).
Le sommet du mont San Salvatore se peuple vers la fin du IXe siècle en raison de l'afflux d'habitants de la côte ionienne fuyant le péril des incursions sarrasines. Les deux noyaux urbains (le haut village et le bas village) se forment en même temps suite à la campagne victorieuse du général byzantin Nicéphore Phocas l'Aîné en 886, qui invite les réfugiés à s'établir dans les kastellion, sites implantés dans les hauteurs en des positions plus aisément défendables grâce à la configuration naturelle du terrain.
Au cours des siècles suivants, Gimigliano partage le sort politique de Tiriolo dont il est considéré comme un hameau : le fief est acheté en 1481 par les Carafa de Soriano, qui le revendent en 1630 à la famille Cicala jusqu'à l'abolition de la féodalité par la loi du 2 août 1806. Obtenant son autonomie administrative l'année suivante, Gimigliano est incendié par les troupes françaises de Joseph Bonaparte.
L'art du tissage joue un rôle non négligeable dans l'économie du village, réputé pour ses confections de draps et de tapisseries[4].
|- style="vertical-align: top"
| 26 mai 2019 | En cours | Laura Moschella | style="text-align: center" | |
Carlopoli, Catanzaro, Cicala, Decollatura, Fossato Serralta, Pentone, San Pietro Apostolo, Sorbo San Basile, Soveria Mannelli, Tiriolo