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Historien de l'Antiquité classique, érudit classique, professeur d'université, historien |
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François Jacques, né le à Fussy[1] et mort le à Paris 14e, est un historien français spécialiste de la Rome antique. Ses travaux ont essentiellement portés sur la vie municipale de l'Empire romain et ont contribué à profondément renouveler les perspectives historiques sur la question.
Après l'agrégation d'histoire en 1968 et un doctorat es lettres en 1980[2], il a enseigné à partir de 1969 à l'université de Reims comme maître-assistant puis il a été nommé professeur à l'université de Nantes en 1981 puis comme professeur d'histoire romaine à l'université Lille-III en 1990[3].
Ancien membre de l'École française de Rome, sa thèse de doctorat d'état fut soutenue en 1980 sous la direction d'André Chastagnol. François Jacques était également un élève de Hans-Georg Pflaum. Ses analyses sur la vie municipale, et en particulier l'ouvrage tiré de son doctorat d'état, Le privilège de liberté (1984), ont contribué à établir l'idée de la vitalité de la civilisation municipale dans l'Empire romain en insistant sur le maintien de l'autonomie des cités, remettant en cause une historiographie qui insistait avant tout sur l'ingérence du pouvoir central[3].
Il avait entrepris des recherches sur l’Histoire Auguste, sur les sénateurs romains du IIIe siècle et put participer en 1990 à une prospection archéologique autour de Bavay, travaux interrompus par son décès à Paris le 3 mai 1992[3].
Ses principaux ouvrages sont[4] :