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Famille de Marliave | |
![]() Armes | |
Blasonnement | De gueules à deux bars adossés d'argent |
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Devise | Mira Peis |
Période | XVIe – XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Albigeois |
Allégeance | ![]() |
Charges | Député du Tarn Maires |
Récompenses militaires | Ordre royal et militaire de Saint-Louis |
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La famille de Marliave est une famille subsistante de la noblesse française de noblesse d'extraction[1] originaire de l'Albigeois dont la filiation prouvée remonte à 1542.
Jean-Pierre de Marliave, écuyer, sieur de Pontel, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, capitaine au régiment de la reine infanterie, obtint le premier avril 1746 un arrêt de la Cour des comptes de Montpellier par lequel il fut déclaré « noble et issu de noble race et lignée » en conséquence des titres qu'il avait présentés depuis l'an 1542 »[2].
La famille de Marliave est admise à l'association d'entraide de la noblesse française, en 1958[3].
La filiation prouvée de la famille de Marliave remonte à Gui de Marliave, marié à Catherine de la Gascavie par contrat du , dans lequel il est qualifié noble[2]. Ils eurent pour fils Philippe de Marliave, également qualifié noble dans son contrat de mariage du avec Jeanne de Bonnel, d'où postérité[2].
La famille de Marliave posséda les seigneuries de Pontel, de la Pause, de Saint Lieu, de Lafenasse, etc.[2].
Les principales alliances de famille de Marliave sont : de la Gascavie (1542)[5], de Bonnel (1575)[5], de Serviès (1603)[5], de Brun (1641[5], de Bermond du Caylar (1687)[5], de Brandouin de Balagnié (1726)[5], de Guilhem du Bourguet (1771), Dupuy (1797), Ardène (1839), Souty, Bardon (1856), Besse de Laromiguière (1894), de Verbigier de Saint-Paul (1885), Puttecotte de Renéville (1917), du Bourg (1902), Vallet de Villeneuve (1931), de Scorbiac (1937), de Garidel-Thoron (1943), Ducasse-Comnène, Saint Gery, Maistre, de Quatrebarbes (1962)[6], de Quinsonas, de Saint-Exupéry de Castillon[7], Jobez[8], O'Byrne, von Hubner, Pavin de Lafarge, Roulleau de La Roussière, La Chaisserie, de Thézan.