Edmund Wilson

Edmund WilsonBiographie
Naissance 8 mai 1895
Red Bank
Décès 12 juin 1972 (à 77 ans)
Talcottville (en)
Sépulture Pleasant Hill Cemetery (d)
Nationalité américaine
Domicile Talcottville (en) (jusqu'en 1972)
Formation Université de Princeton (1912-1916)
The Hill School (en)
Université Columbia
Activité Écrivain, journaliste
Père Edmund Wilson (en)
Conjoints Mary McCarthy (de 1938 à 1946)
Elena Mumm Thornton Wilson (d)
Autres informations
A travaillé pour Université Wesleyenne
Vanity Fair
The New Yorker
The New Republic
Conflit Première Guerre mondiale
Influencé par Evelyn Waugh, Gertrude Stein, T. S. Eliot, Paul Valéry, James Joyce, William Butler Yeats, Karl Marx, Arthur Rimbaud, Sigmund Freud, Marcel Proust
Distinctions Bourse Guggenheim (1935)
Médaille présidentielle de la Liberté (1963)
Médaille Emerson-Thoreau (1966)
Archives conservées par Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits
Bibliothèque de l'Université de Princeton
Bibliothèque de livres rares de Thomas Fisher
Œuvres principales
To the Finland Station (d), Patriotic Gore (d)

Edmund Wilson (8 mai 1895 – 12 juin 1972) est un écrivain, journaliste, romancier, dramaturge et critique littéraire américain.

Biographie

Rédacteur en chef adjoint de The New Republic, directeur de Vanity Fair, critique littéraire au New Yorker, il a influencé par ses écrits des auteurs tels que Sinclair Lewis, John Dos Passos ou Upton Sinclair. Époux de la romancière Mary McCarthy, auteur d'une correspondance avec Anaïs Nin et Vladimir Nabokov, il a fait découvrir au public les œuvres de William Faulkner, Ernest Hemingway, Francis Scott Fitzgerald et Marie-Claire Blais entre autres. Edmund Wilson passe pour l'un des plus grands critiques littéraires américains du XXe siècle.

Pardon aux Iroquois (Apologies to the Iroquois)

Dans sa version originale, en anglais, le texte Pardon aux Iroquois a été publié initialement sous forme d'article dans le New Yorker en 1959, et sous forme de livre l'année suivante. Dans la postface du livre de 1960, le sioux Vine Deloria mentionne que c'est l'essai "le plus aigu et le plus pénétrant sur le sujet. L'intérêt de Wilson pour les Amérindiens vient de la découverte que sa propriété, un héritage familial, se situe en "territoire iroquois ou tout près". Il écrira : "Je demande pardon aux Iroquois, et je veux essayer d'expliquer ici pourquoi il est possible de méconnaitre à ce point les Indiens, et pourquoi il est difficile à ceux qui se soucient d'eux d’amener les autres à s'y intéresser".

Œuvres

Ouvrages traduits en français

Choix d'ouvrages en langue anglaise

Notes et références

  1. « http://hdl.handle.net/10079/fa/beinecke.edwilson »
  2. « https://library.princeton.edu/special-collections/collections/edmund-wilson-collection »
  3. « Pardon aux Iroquois », sur Lux Éditeur (consulté le 27 février 2022).
  4. Michel Lapierre, « Prendre conscience », sur Le Devoir, 19 février 2022 (consulté le 27 février 2022).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes