Cet article abordera la question de Data Relay & Tracking Satellite, une question pertinente dans le contexte actuel. Data Relay & Tracking Satellite est un sujet qui a suscité l'intérêt de nombreuses personnes, car il a de profondes implications dans divers domaines. D'un point de vue historique, Data Relay & Tracking Satellite a fait l'objet d'études et de débats au fil des années, et sa présence reste significative dans la société contemporaine. Cet article vise à fournir une vue complète de Data Relay & Tracking Satellite, en explorant ses nombreuses facettes et en offrant une perspective éclairée sur son importance et ses implications aujourd'hui. Grâce à une analyse critique et réflexive, l'objectif est de générer une meilleure compréhension et sensibilisation à Data Relay & Tracking Satellite, contribuant ainsi à l'enrichissement du débat et de la réflexion autour de ce sujet.
Organisation |
![]() |
---|---|
Constructeur |
![]() |
Domaine | Satellite relais |
Statut | Retiré du service |
Lancement | 10 septembre 2002 |
Lanceur | H-IIA |
Fin de mission | 2017 |
Identifiant COSPAR | 2002-042B |
Masse au lancement | 2800 kg |
---|---|
Ergols | Hydrazine |
Contrôle d'attitude | Stabilisé 3 axes |
Source d'énergie | Panneaux solaires |
Charge utile | DRTS : liaisons radio inter-satellites |
---|
Data Relay & Tracking Satellite ou Kodama plus souvent désigné par son acronyme DRTS (en français satellite relais de données et de suivi) est un satellite de télécommunications japonais expérimental qui a été placé en 2002 sur une orbite géostationnaire pour jouer le rôle de satellite relais entre les satellites japonais circulant en orbite basse et les stations terriennes. Le recours à un satellite relais permet des transferts de données plus fréquents que lorsque ceux-ci sont réalisés lors du survol des stations terriennes. DRTS utilise une liaison inter-satellites radio fonctionnant en bande Ka ou en S. Il a été retiré du service en 2017 et a été remplacé fin 2020 par le satellite JDRS qui met en œuvre également un système optique (laser) permettant un débit plus élevé.
En 2002 la NASDA (ancêtre de l'agence spatiale japonaise actuelle) place en orbite géostationnaire le satellite de télécommunications DRTS pour tester un système de relais spatial entre les satellites circulant en orbite basse et les stations terriennes. Ce système doit permettre des transferts de données plus fréquents qu'une liaison directe avec les stations terriennes car celles-ci ne sont survolées (et donc visibles) que durant une faible partie de l'orbite. Les objectifs de la mission spatiale sont les suivants[1] :
Le satellite DRTS est un satellite de télécommunications stabilisé 3 axes de 2 800 kilogrammes qui utilise une plateforme DS-2000 de Mitsubishi Electric qu'il a contribué à mettre au point et qui a été utilisée par la suite par une dizaine de satellites. L'énergie est fournie par deux panneaux solaires déployés en orbite dont l'énergie est stockée dans des batteries. Son système propulsif comprend des moteurs-fusées à ergols liquides brulant de l'hydrazine et des arcjets[1].