De nos jours, Cora Sandel est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Cora Sandel a acquis une plus grande importance dans la société actuelle. Qu'il s'agisse d'un personnage historique, d'un sujet d'actualité ou d'une date emblématique, Cora Sandel a capté l'attention d'individus de tous âges et de tous horizons. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'impact de Cora Sandel dans différents domaines, ainsi que sa pertinence aujourd'hui et sa projection dans le futur.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Berthåga cemetery (d) |
Nom de naissance |
Sara Fabricius |
Pseudonyme |
Cora Sandel |
Nationalité | |
Activité | |
Conjoint |
Anders Jönsson (d) (de à ) |
Membre de | |
---|---|
Distinctions |
Cora Sandel (, Kristiania (aujourd'hui Oslo), Norvège - , Uppsala, Suède) est le pseudonyme de Sara Fabricius, écrivaine norvégienne.
Née à Kristiania (Oslo) en 1880[1], elle passe la plus grande partie de sa jeunesse à Tromsø (1893-1905)[2]. Cette ville provinciale du nord de la Norvège sera le cadre de son premier roman, publié plus de 20 ans plus tard. Sara Fabricius quitte la Norvège en 1906, après la mort de sa mère[1], pour suivre des cours de peinture à Paris[1]. Malgré ses efforts, elle ne deviendra jamais peintre. Pendant son séjour à Paris, de 1908 à 1911, elle écrit des reportages pour le journal norvégien Morgenbladet, entre autres sur les crues de la Seine à Paris en 1910. Elle couvre aussi la mort de Bjørnstjerne Bjørnson à Paris le .
En 1913, elle se marie avec le sculpteur suédois Anders Jönsson[1],[2]. En 1921, elle suit son mari pour Stockholm. Pour autant, elle continue à écrire en norvégien jusqu'à la fin de sa vie[1].
Ce n'est qu'en 1926 que Sara Fabricius commence à se faire une place dans la littérature norvégienne sous le pseudonyme de Cora Sandel avec le roman Alberte et Jacob[1],[2]. Il s'agit du premier tome d'une trilogie sur une jeune femme, Alberte, qui souhaite fuir sa province norvégienne et sa vie bourgeoise. La vie provinciale de jeune fille se juxtapose avec celle de son frère cadet.
Le deuxième tome de cette trilogie, Alberte et la liberté (1932)[1], place Alberte dans le milieu artiste et scandinave de Paris-Montparnasse dans les années 1910. La protagoniste écrit sans pouvoir se considérer comme écrivain. Le troisième tome, Alberte seule (1939), voit une femme qui sombre plus ou moins dans les devoirs d'épouse et de mère tout en cherchant à trouver sa piste.
Cora Sandel est aussi une grande admiratrice de Colette, dont elle traduit le roman La Vagabonde. La traduction norvégienne, parue en 1952, est mal accueillie par la critique. Cora Sandel, déçue, ne traduira plus.
Traductions françaises :
Non traduit en français :