Dans le monde d'aujourd'hui, Claire Duhamel est devenu un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence dans divers domaines de la société. De la sphère scientifique à la sphère politique, Claire Duhamel a attiré l'attention des chercheurs, des universitaires, des dirigeants et des citoyens en général, générant d'intenses débats et analyses autour de ses implications et répercussions. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes facettes et perspectives de Claire Duhamel, en examinant son impact aujourd'hui et les projections possibles pour l'avenir. De son origine à son évolution, en passant par ses effets sur le présent, nous plongerons dans une analyse complète et exhaustive de Claire Duhamel, abordant ses aspects positifs, négatifs et controversés.
Nom de naissance | Marie-Claire Viraut |
---|---|
Surnom | Claire Duhamel |
Naissance |
Vineuil-Saint-Firmin (Oise), France |
Nationalité |
![]() |
Décès |
(à 88 ans) Paris 11e, France |
Profession | Actrice |
Films notables |
Baisers volés Domicile conjugal |
Marie-Claire Viraut, dite Claire Duhamel, née le à Vineuil-Saint-Firmin (Oise) et morte le à Paris 11e, est une actrice française.
Claire Duhamel fait ses débuts en 1948 dans Le Droit de l'enfant aux côtés de Jean Chevrier. Elle est la partenaire de Pierre Fresnay dans Un grand patron d'Yves Ciampi. Le cinéaste Alain Resnais l'engage pour ses films La Guerre est finie et Je t'aime, je t'aime. Son apparition la plus populaire est son interprétation de Madame Darbon, la mère de Christine (Claude Jade), dans les films de François Truffaut, Baisers volés et Domicile conjugal.
En 1997, elle revient au cinéma dans Mange ta soupe de Mathieu Amalric.
Elle meurt le à Paris 11e[1],[2], à l'âge de 88 ans. Elle est inhumée au cimetière des Batignolles (division 3)[3].