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Cirsium vulgare
Règne | Plantae |
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Division | Magnoliophyta |
Classe | Magnoliopsida |
Ordre | Asterales |
Famille | Asteraceae |
Genre | Cirsium |
Ordre | Asterales |
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Famille | Asteraceae |
Le Cirse commun (Cirsium vulgare), ou Cirse à feuilles lancéolées, est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Astéracées (ou Composées) et du genre Cirsium.
C'est une plante bisannuelle.
Cirsium vulgare est une grande plante (de 30 à plus de 150 cm de hauteur) présentant des tiges rigides épineuses.
Les feuilles sont alternes, vertes sur les deux faces, couvertes d'épines sur la face supérieure.
L'inflorescence, qui apparaît entre juin et octobre, est un racème de capitules et mesure de 30 à 50 mm. Les fleurs, roses, sont hermaphrodites et mellifères[1]. La pollinisation entomogame ou autogame.
Le fruit est un akène soyeux, semblable à celui du pissenlit[1], qui se dissémine par anémochorie.
Le Cirse commun a de nombreuses appellations locales dont Cirse à feuilles lancéolées ; Cirse commun ; Cirse lancéolé ; Chardon lancéolé ; Chardon vulgaire ou commun ; Gros chardon ; Piqueux.
Cirsium vulgare est une plante commune qui pousse en terrain découvert (chemins, clairières, décombres, terrains vagues...). On la rencontre sur tous les continents soit à l'état spontané (Europe, Asie, Afrique du Nord) soit naturalisé (Afrique subsaharienne, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Australie, Océanie). En France elle est présente sur tout le territoire y compris en Corse.
L'espèce est envahissante en Nouvelle-Calédonie[2], où elle a été introduite accidentellement dans le fourrage d'importation en 1969. Les infestations concernent surtout la côte ouest[1].
Plusieurs parties de la plante sont consommables. La racine pivotante peut être consommée crue ou cuite (elle a un goût assez doux), mais uniquement sur les jeunes plants qui n'ont pas encore fleuri (tige florale pas encore apparue au centre de la rosette) cette racine devenant creuse et fibreuse à l'approche de la floraison. Les feuilles piquantes peuvent être hachées et soumises au sac à jus ou à la passoire pour préparer une soupe (préparation désignée par le docteur Ernest Bonnejoy sous le nom de « soupe aux choux inodore »[3].) ou un gaspacho. La jeune pousse pelée est croquante, à la saveur sucrée et salée, et est consommée crue ou cuite à la vapeur ou bouillie. Le réceptacle floral, cru ou cuit, a un goût d'artichaut. Les jeunes fleurs sont aussi comestibles et ont servi jadis à coaguler le lait, comme celles d'autres chardons[4],[5].