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Le cimetière de Clamart étant appelé à être fermé par suite de son encombrement, les « Catherinettes » achetèrent en mai 1783 trois jardins attenants, d'une superficie totale de 592 toises (2 300 m2 environ). Le cimetière est ouvert et béni le .
Le cimetière, qui comprenait une chapelle mortuaire, était entouré d'une mur de 3 m de haut et l'entrée était située rue des Francs-Bourgeois-Saint-Marcel.
À la Révolution, le cimetière devient comme tous les autres propriété de la ville de Paris, qui l'affecte avec le cimetière de Saint-Sulpice aux inhumations de la population de la rive gauche. Il est alors agrandi de l'étroite bande de jardins qui le sépare du cimetière de Clamart, qui est destinée pour l'enterrement des suppliciés[5].
Le cimetière Sainte-Catherine qui avait reçu depuis son ouverture plus de 4 000 corps par an était complètement rempli à la fin du Premier Empire. Il est fermé le lors de la mise en service du cimetière du Montparnasse.
↑Morte en couches et enterrée en l'absence de son époux, le veuf fit procéder, sept jours après sa mort, à une exhumation du corps afin d'obtenir un moulage de son visage (Jean François Eugène Robinet, Danton : Mémoire sur sa vie privée, Paris, Chamerot et Lauwereyns, 1865, p. 292), ce qui déclencha un scandale.
↑William Warden, Napoléon jugé par un Anglais - Lettres de Sainte-Hélène, Paris, Librairie historique etmilitaire Henri Vivien, 1901, (en ligne).
↑né à Kervignac (Morbihan) en 1732, taille de 1,77m, ou cinq pieds cinq pouces, cheveux châtain clair, sourcils de même, yeux bleus, nez aquilin , visage plein et un peu coloré, bouche moyenne, menton rond avec son creux. Cultivateur, domicilié à Roche-Marin
↑Né à Lille le . Sous-lieutenant à la 10e cohorte 2e compagnie de la garde nationale, membre de la Légion-d' Honneur
↑Né à Neuf-Marché le . Capitaine adjudant-major à la 10e cohorte de la garde nationale. Domicilié, avant son entrée au service, à Pontoise, membre de la Légion-d'Honneur