Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha

Charles-Édouard de Saxe-Cobourg-Gotha
Illustration.
Charles-Édouard en 1900.
Titre
Prétendant au trône de Saxe-Cobourg et Gotha
23 novembre 19186 mars 1954
(35 ans, 3 mois et 11 jours)
Prédécesseur Lui-même (duc)
Successeur Frédéric-Josias
Duc de Saxe-Cobourg et Gotha
30 juillet 190023 novembre 1918
(18 ans, 3 mois et 24 jours)
Prédécesseur Alfred de Saxe-Cobourg et Gotha
Successeur Disparition du duché
Biographie
Titre complet Duc d'Albany
Comte de Clarence
Baron Arklow
Dynastie Maison de Saxe-Cobourg et Gotha (branche britannique)
Maison de Saxe-Cobourg et Gotha (branche ducale)
Nom de naissance Charles Edward George Albert Leopold of Saxe-Coburg and Gotha
Date de naissance 19 juillet 1884
Lieu de naissance Claremont House (Surrey, Royaume-Uni)
Date de décès 6 mars 1954 (à 69 ans)
Lieu de décès Cobourg (Bavière, République fédérale d'Allemagne)
Parti politique Parti national-socialiste des travailleurs allemands
Père Léopold d'Albany
Mère Hélène de Waldeck-Pyrmont
Fratrie Alice d'Albany
Conjoint Victoria-Adélaïde de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg
Enfants Jean-Léopold
Sibylle
Hubertus
Caroline Mathilde
Frédéric-Josias
Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha
Duc de Saxe-Cobourg et Gotha

Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha, né le 19 juillet 1884 à Claremont House près d'Esher dans le comté de Surrey en Grande-Bretagne, et mort le 6 mars 1954 à Cobourg dans le land de Bavière en République fédérale d'Allemagne est un membre de la famille royale britannique, duc de Saxe-Cobourg et Gotha de 1900 à 1918.

Son soutien à l'Allemagne lors de la Première Guerre mondiale lui vaut d'être banni de sa famille, rupture qui aboutit à son engagement en faveur du régime nazi dans les années 1930.

Biographie

Enfance (1884-1900)

Petit-fils de la reine Victoria et du prince consort Albert de Saxe-Cobourg-Gotha, il est le fils posthume du duc d'Albany Léopold d'Albany (1853-1884), et de la princesse allemande Hélène de Waldeck-Pyrmont (1861-1922). Charles-Édouard ne connut jamais son père qui décéda le 28 mars 1884 avant sa naissance, à cause de son hémophilie. Ainsi, il devient duc d'Albany à sa naissance.

Après avoir été malade, il a été baptisé pendant une cérémonie privée à Claremont House, le 4 août 1884, deux semaines après sa naissance. Quatre mois plus tard, il est baptisé publiquement dans l'église paroissiale de Esher, le 4 décembre 1884. Ses marraines étaient sa grand-mère la reine Victoria, sa tante la princesse Helena du Royaume-Uni, sa tante la princesse Louise du Royaume-Uni et sa lointaine cousine la princesse Frédérika de Hanovre. Ses parrains étaient son oncle le prince de Galles (futur Édouard VII) et son grand-père maternel le prince Georges-Victor de Waldeck-Pyrmont.

Charles-Édouard était un cousin germain de l'empereur Guillaume II, mais l'intérêt de celui-ci pour l'éducation de son jeune cousin était tel que Charles-Édouard était connu comme « le septième fils de l'empereur ». Sa mère Hélène de Waldeck-Pyrmont lui inculquait sans cesse l'importance de « devenir un homme bon » et « de ne pas apporter de honte sur le nom de papa ». Il étudia un temps au Collège d'Eton. Mais un événement imprévu bouleverse la vie du jeune duc qui n'était pas destiné à régner. En effet en 1899, le deuxième fils de la reine Victoria, Alfred, règne sur le duché de Saxe-Cobourg et Gotha au sein de l'Empire allemand. Le fils unique du duc Alfred Ier de Saxe-Cobourg et Gotha, le prince Alfred, meurt prématurément le 6 février 1899, laissant le duché sans héritier. La reine Victoria va alors demander à son fils de désigner son neveu, Charles-Édouard, comme héritier du duché, ne respectant pas ainsi les règles successorales. En effet, le troisième fils de la reine Victoria, Arthur de Connaught et Strathearn, avait été refusé comme héritier du duché de Saxe-Cobourg par l’empereur Guillaume II du fait de ses fonctions dans l’armée britannique. Son unique fils, Arthur de Connaught, aurait été accepté par l’empereur à condition de recevoir une éducation allemande, exigence refusée par son père. D’où le transfert du titre à Charles-Édouard, fils posthume de Léopold, duc d’Albany, quatrième fils de la reine Victoria. Ainsi à l'automne 1899, à l'âge de 15 ans, il quitte le Royaume-Uni pour l'Allemagne avec sa mère et sa sœur Alice pour assumer son futur rôle de chef de la Maison de Saxe-Cobourg et Gotha. Ils vécurent d'abord au château de Stuttgart auprès du roi Guillaume II de Wurtemberg. Au printemps 1900, il s'installèrent près de Potsdam, à Villa Ingenheim. Charles-Édouard a fait des études de sciences politiques à Bonn et reçoit un enseignement militaire poussé.

Duc de Saxe-Cobourg-Gotha (1900-1918)

Début de règne et Première Guerre mondiale Charles-Édouard de Saxe-Cobourg-Gotha (1906).

Un an plus tard, en 1900, meurt Alfred Ier de Saxe-Cobourg et Gotha, ce qui fait de Charles-Édouard le nouveau duc de Saxe-Cobourg-Gotha. Étant donné qu'il n'a encore que seize ans, il doit régner durant cinq ans sous la régence du prince Ernest II de Hohenlohe-Langenburg, époux de sa cousine Alexandra de Saxe-Cobourg-Gotha, troisième fille du feu duc Alfred. Le 15 juillet 1902, son oncle Édouard VII fait de lui un chevalier de l'Ordre de la Jarretière. Dès sa majorité, le 19 juillet 1905, Charles-Édouard assure entièrement ses pouvoirs constitutionnels.

C'est l'empereur Guillaume II qui choisit l'épouse de Charles-Édouard. Son choix se porte sur la nièce de sa femme, la princesse Victoria-Adélaïde de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, fille du duc Frédéric-Ferdinand de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg (1855-1934) et de Caroline-Mathilde de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg. Ils se marient le 11 octobre 1905 à Cobourg.

La Première Guerre mondiale va provoquer une situation de conflit d'allégeances pour Charles-Édouard, puisque son pays natal et son pays d'adoption entrent en conflit. Néanmoins, fidèle à ses sujets allemands, il décide de soutenir l'Allemagne et devient général dans l'armée allemande (bien qu'il n'ait jamais tenu de commandement important). En 1914 il est promu général d'infanterie. De plus, il transforme une partie de son château de Cobourg en hôpital de réserve. À la suite de ces faits, le roi George V ordonne que son nom soit rayé du registre des chevaliers de la Jarretière en 1915.

Bannissement de la famille royale britannique et renonciation au trône

Afin de démontrer sa loyauté inconditionnelle en Allemagne, Charles-Édouard signe le 12 mars 1917 une loi qui exclut du trône et de l'ordre de succession les membres non allemands de la Maison de Saxe-Cobourg et Gotha ou ceux dont l'État d'origine entreprend une guerre contre l'Empire allemand. Une attaque contre les Britanniques le 17 juin 1917 avec 17 bombardiers bimoteurs issus de la fabrique de wagons du duché coûte la vie à 160 soldats britanniques et renforce le sentiment anti-allemand outre-Manche. En 1917, le Parlement britannique adopte une loi autorisant l'État à enquêter sur « les personnes bénéficiant d'une dignité ou d'un titre comme pair ou prince britannique, et qui ont, pendant la guerre actuelle, porté les armes contre Sa Majesté ou ses alliés, ou qui se sont alliés aux ennemis de Sa Majesté ». Charles-Édouard est alors considéré en Angleterre comme un traître, c'est en partie à cause de lui que la famille royale prend le nom de Windsor, pour se distinguer de la branche allemande de la famille. C'est pourquoi, aux termes de cette loi, un décret du 28 mars 1919 supprime formellement les biens et titres britanniques de Charles-Édouard, à savoir le duché d'Albany, le comté de Clarence et la baronnie de Arklow. Le duc et ses enfants perdent également leurs droits à des titres de prince et de princesse du Royaume-Uni et du prédicat d'Altesse Royale. Le prince de Hanovre Ernest-Auguste de Brunswick est lui aussi privé de ses titres par cette loi.

Deux ans plus tard, la révolution russe de 1917 lui cause beaucoup d'inquiétude, ainsi que les luttes entre la gauche et les partis de droite en Allemagne. Le 18 novembre 1918, les travailleurs et le Conseil des soldats de Gotha décident de déposer le duc de Saxe-Cobourg et Gotha. Cinq jours plus tard, le duc signe sa déclaration d'abdication au trône. Son duché est séparé en deux États libres : Gotha, au sein du land de Thuringe et Cobourg au sein du land de Bavière. Les nouveaux gouvernements des deux Lands saisissent ses terres et propriétés pour en faire des biens publics contre proposition d'indemnisation comme ce fut le cas pour toutes les familles nobles ou princières allemandes.

Le prince et le régime nazi (1918-1945)

En juin 1919, l'ex-prince rejette l'offre d'indemnisation de l'État libre de Saxe-Gotha d'un montant de 15 millions de marks pour la perte de ses biens (environ 76 millions d'euros actuels). Par conséquent, le 31 juillet 1919 une loi d'expropriation forcée est adoptée à son encontre. Il est le seul prince exproprié non indemnisé d'Allemagne. Cependant, à la suite d'une longue bataille judiciaire, il reçoit en 1925, 37,5 millions de Reichsmark de compensation (soit environ 100 millions d'euros actuels) et le gouvernement lui restitue 10 000 hectares de terres et de forêts et le château de Callenberg à Cobourg, où il réside avec sa famille.

Charles-Édouard a 34 ans en 1918. Il se sent doublement trahi : par son pays natal et sa famille qui lui retirent tous ses titres et biens, et par les socialistes allemands qui viennent de renverser l'Empire de Guillaume II. Dans cette nouvelle Allemagne, il ne se sent plus à sa place : les ouvriers de ses usines le menacent physiquement. Devenu simple citoyen allemand, monarque déchu, il s'associe de plus en plus avec diverses organisations d'extrême-droite. Craignant la menace communiste, il trouve en la personne d'Adolf Hitler un refuge. Il se lie très tôt aux nazis. Il offre aux nazis la ville de Cobourg pour les défilés lors de la fête nationale allemande. Cobourg devient la première ville d'Allemagne à élire un maire nazi. Banni d'Angleterre, Charles-Édouard garde des sympathies pour le futur Édouard VIII. Il ne revient en Angleterre qu'en 1936 quand Édouard VIII monte sur le trône britannique.

En 1932, il participe à la création du Front de Harzburg, à travers lequel le Parti national du peuple allemand s'associe au Parti nazi. La même année, sa fille Sybille épouse le prince royal de Suède. Il rejoint le parti nazi en 1935 et devient un membre de la SA (ou chemises brunes), atteignant le grade d'Obergruppenführer. Il siège également comme membre du Reichstag représentant le parti nazi de 1937 à 1945.

Charles-Édouard en 1941.

Le 14 octobre 1922, Adolf Hitler rencontre personnellement le prince en tant qu'invité d'honneur lors d'une soirée à Cobourg. Au cours des décennies suivantes, ils se rencontrent au moins 21 fois. Après les premiers succès électoraux du NSDAP à Cobourg en 1929, il appuie ouvertement le parti. En 1933, il devient un membre parrain de la SS. Hitler voit en Charles-Édouard un outil important de rapprochement avec l'Angleterre. En 1936, il le nomme président de l'Anglo-German Fellowship, chargé de l’amélioration des relations anglo-allemandes, en vue d'explorer la possibilité d'un pacte entre les deux pays. Le duc assiste en 1936 aux funérailles du roi George V dans son uniforme militaire allemand. Sa sœur ayant épousé le frère de la reine Mary, Alexander Cambridge, il se rapproche du nouveau roi Édouard VIII. Ce dernier l'assure que tant qu'il régnera, l'Angleterre n'attaquera pas l'Allemagne. Il envoie des rapports encourageants à Hitler sur la force du sentiment pro-allemand dans l'aristocratie britannique. Après l'abdication d'Édouard VIII en décembre 1936, ce dernier est accueilli par Hitler avec sa récente épouse Wallis Simpson au cours de leur visite officielle en Allemagne en 1937. Lors de la nuit de Cristal, la synagogue de Cobourg est détruite. Des 238 Juifs de Cobourg, il n'en reste plus un en 1942.

En conséquence, Charles-Édouard reçoit de nombreux postes honorifiques au sein du régime nazi, ce qui lui permet de devenir un membre haut placé du NSDAP, tout en conférant au parti le prestige de son nom en Allemagne en tant que figure de proue de renommée internationale.

Parallèlement à ses activités politiques, il devient président de la Croix-Rouge allemande de 1933 à 1945, où celle-ci devient une partie de l'organisation nazie, portant uniforme et faisant le salut nazi. C'est Charles-Édouard qui désigne Ernst-Robert Grawitz, un officier SS, en tant que chef des opérations de la Croix-Rouge allemande de 1937 à 1945, puis Karl Gebhardt à partir de 1945, reconnus coupables de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité après la guerre.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, bien que Charles-Édouard soit trop vieux pour le service actif, ses trois fils vont servir dans les forces armées allemandes. Le second, son fils préféré Hubert, est tué au combat en 1943 sur le front de l'Est dans un accident d'avion.

Fin de vie (1945-1954)

Lorsque la Seconde Guerre mondiale est terminée, le gouvernement militaire américain en Bavière, sous le commandement du général George Patton, place le duc en résidence surveillée en raison de ses sympathies nazies. Plus tard, il est emprisonné avec d'autres dignitaires nazis jusqu'en 1946. Sa sœur, la princesse Alice d'Albany, ayant appris l'incarcération de son frère, vient en Allemagne avec son mari Alexander Cambridge afin de plaider sa libération auprès des Américains. La princesse Alice et son époux tentent de corrompre les généraux américains en offrant un dîner bien arrosé, mais ceux-ci refusent de le libérer.

En 1946, Charles-Édouard est condamné par un tribunal de dénazification à de lourdes amendes qui le mettent presque en faillite. Il échappe à la prison grâce à son âge (62 ans) et ses problèmes de santé.

Depuis la fin de la guerre, la ville de Gotha est intégrée, comme le reste de la Thuringe, à la zone d'occupation soviétique. L'armée soviétique y confisque une grande partie des propriétés de sa famille. La ville de Cobourg étant bavaroise, et à ce titre, appartenant à la zone d'occupation américaine, les propriétés ne sont pas expropriées, tout comme celles positionnées dans d'autres parties de l'Allemagne et à l'étranger.

L'ancien duc de Saxe-Cobourg-Gotha passe les dernières années de sa vie dans la solitude. En 1953, il se rend à un cinéma local pour voir le couronnement de sa petite-cousine, la reine Élisabeth II qui ne l'a pas fait inviter. Il meurt l'année suivante.

Descendance

De son mariage avec la princesse Victoria-Adélaïde de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg (31 décembre 1885 – 3 octobre 1970) sont issus cinq enfants :

Ascendance

Ascendance de Charles-Édouard de Saxe-Cobourg-Gotha
                                       
  32. Ernest Frédéric de Saxe-Cobourg-Saalfeld
 
       
  16. François de Saxe-Cobourg-Saalfeld  
 
               
 33. Sophie-Antoinette de Brunswick-Wolfenbüttel
 
         
 8. Ernest Ier de Saxe-Cobourg et Gotha 
 
                     
 34. Henri XXIV Reuss d'Ebersdorf
 
         
 17. Augusta Reuss d'Ebersdorf 
 
               
 35. Caroline-Ernestine d'Erbach-Schönberg
 
         
  4. Albert de Saxe-Cobourg-Gotha  
 
                           
 36. Ernest II de Saxe-Gotha-Altenbourg
 
         
 18. Auguste de Saxe-Gotha-Altenbourg 
 
               
 37. Charlotte de Saxe-Meiningen
 
         
 9. Louise de Saxe-Gotha-Altenbourg 
 
                     
 38. Frédéric-François Ier de Mecklembourg-Schwerin
 
         
 19. Louise-Charlotte de Mecklembourg-Schwerin 
 
               
 39. Louise de Saxe-Gotha-Altenbourg
 
         
 2. Léopold d'Albany 
 
                                 
 40. Frédéric de Galles
 
     
 20. George III du Royaume-Uni 
 
               
 41. Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg
 
     
 10. Édouard-Auguste de Kent 
 
                     
 42. Charles-Louis-Frédéric de Mecklembourg-Strelitz
 
     
 21. Charlotte de Mecklembourg-Strelitz 
 
               
 43. Élisabeth-Albertine de Saxe-Hildburghausen
 
     
 5. Victoria du Royaume-Uni 
 
                           
 44=32. Ernest Frédéric de Saxe-Cobourg-Saalfeld
 
     
 22=16. François de Saxe-Cobourg-Saalfeld 
 
              
 45=33. Sophie-Antoinette de Brunswick-Wolfenbüttel
 
     
 11. Victoire de Saxe-Cobourg-Saalfeld 
 
                     
 46=34. Henri XXIV Reuss d'Ebersdorf
 
     
 23=17. Augusta de Reuss zu Ebersdorf 
 
               
 47=35. Caroline-Ernestine d'Erbach-Schönberg
 
     
 1. Charles-Édouard de Saxe-Cobourg-Gotha 
 
                                       
 48. Charles-Auguste de Waldeck-Pyrmont
 
     
 24. Georges Ier de Waldeck-Pyrmont 
 
               
 49. Christine de Deux-Ponts-Birkenfeld
 
     
 12. Georges II de Waldeck-Pyrmont 
 
                     
 50. Auguste II de Schwarzbourg-Sondershausen (bg)
 
     
 25. Augusta de Schwarzbourg-Sondershausen (pt) 
 
              
 51. Christine-Élisabeth d'Anhalt-Bernbourg
 
     
 6. Georges-Victor de Waldeck-Pyrmont 
 
                           
 52. Charles-Louis d'Anhalt-Bernbourg-Schaumbourg-Hoym
 
     
 26. Victor II d'Anhalt-Bernbourg-Schaumbourg-Hoym 
 
               
 53. Amélie-Éléonore de Solms-Braunfels (bg)
 
     
 13. Emma d'Anhalt-Bernbourg-Schaumbourg-Hoym 
 
                     
 54. Charles-Christian de Nassau-Weilbourg
 
     
 27. Amélie de Nassau-Weilbourg 
 
               
 55. Caroline d'Orange-Nassau
 
     
  3. Hélène de Waldeck-Pyrmont  
 
                                 
 56=54. Charles-Christian de Nassau-Weilbourg
 
     
 28. Frédéric-Guillaume de Nassau-Weilbourg 
 
               
 57=55. Caroline d'Orange-Nassau
 
     
 14. Guillaume de Nassau 
 
                     
 58. Guillaume-Georges de Kirchberg
 
     
 29. Louise-Isabelle de Kirchberg 
 
               
 59. Isabelle-Augusta de Reuss-Greiz
 
     
 7. Hélène de Nassau 
 
                           
 60. Frédéric Ier de Wurtemberg
 
     
 30. Paul-Charles de Wurtemberg 
 
               
 61. Augusta de Brunswick-Wolfenbüttel
 
     
 15. Pauline de Wurtemberg 
 
                     
 62. Frédéric Ier de Saxe-Hildburghausen
 
     
 31. Charlotte de Saxe-Hildburghausen 
 
               
 63. Charlotte de Mecklembourg-Strelitz
 
     
 

Titulature

Jusqu'au 28 mars 1919, il fut aussi prince de Grande-Bretagne et d'Irlande, comte de Clarence, baron Arklow.

Notes et références

  1. (de) Joachim Oltmann, « "Seine Königliche Hoheit der Obergruppenführer". », Zeit Online,‎ 18 janvier 2001 - repris dans wikipedia english le 14 juillet 2016, page 1 § 2 Titre : "Kaiser Wilhelm II. nimmt sich des jungen Vetters an (lire en ligne Inscription nécessaire )
  2. Le favori d'Hitler, reportage Planète.

Bibliographie

Filmographie

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes