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Château de Caillac | |
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Période ou style | Médiéval, renaissance |
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Type | Château |
Début construction | XVIe siècle |
Fin construction | XIXe siècle |
Propriétaire initial | Géraud de Carlat |
Destination initiale | Habitat seigneurial |
Propriétaire actuel | Famille Stehelin |
Protection | ![]() |
Coordonnées | 44° 54′ 46″ nord, 2° 31′ 36″ est |
Pays | ![]() |
Région historique | Haute-Auvergne |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Cantal |
Commune | Vézac |
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Le château de Caillac ou Calhac est un château situé sur la commune de Vézac dans le Cantal. Il est inscrit monument historique depuis le [1], et possède un parc remarquable[2].
Situé dans les prairies de la vallée, proche du cours de la Cère, il comporte deux corps de logis en équerre et une grosse tour ronde d'angle. La façade où est ouverte la porte d'entrée comporte un ordonnancement de la Renaissance ressemblant à celui de Messilhac. Elle ouvre sur un escalier droit d'époque et de style Renaissance. Le château est accompagné d'une ferme et d'un moulin, ainsi que d'un magnifique parc avec arboretum, à l'état d'abandon.
Le château de Calhac que l'on trouve mentionné au Xe siècle dans le testament d'Agnès de Mels, femme de Gilbert II, vicomte de Carlat, est un autre château connu par la suite sous le nom de Castelnoël, sur les communes de Brommat/Mur-de-Barrez[3],[4].
La famille de Boschâtel portait « De sable au château d'or » Supports deux lévriers au naturel Devise «Musis et Armis »[6]. La famille de Beauclair portait « Tranché de sable à trois étoiles d'or rangées en demi-orle sur or à un croissant montant figuré d'argent posé en bande à la bande tranchée d'or sur argent brochant sur le tranché » (ou « Coupé au 1 de sable à deux étoiles accostées d'or au 2 d'or à un croissant non-figuré contourné d'argent ») Cimier : Un croissant montant figuré d'argent supportant une étoile d'or entre un vol de sable. Lambrequin d'or et de sable. »[6].
Naturaliste, botaniste, zoologue, entomologiste, minéralogiste et météorologiste, c'était un ami de Jean-Baptiste Rames (1), de Marcellin Boule (de Montsalvy. Il récolte des fossiles végétaux et expose ses objectifs dans « un nouvel horizon paléontologique du Cantal ». Il localise et classe les gisements de cinérite (dépôts stratifiés de cendres volcaniques) du Cantal, et travaille avec Jean-Baptiste Pagès-Alary (1863). Cela le conduit à parcourir les montagnes, à la recherche de tous les indices ; il prend de nombreuses photos et tient des carnets de terrains où il inscrit tous les phénomènes naturels qu’il constate. On lui connait 110 publications, dont en 1903 un ouvrage de 98 pages sur la flore du Miocène, ainsi que des comptes-rendus d'ouvrages dans la Revue de la Haute-Auvergne. Ses fréquentations restèrent sélectives et réduites au monde scientifique et plus généralement au monde intellectuel de la région. Il avait planté un magnifique parc avec un arboretum.
Devenue âgée et n'ayant que des neveux et sa fille Jeanne Marty (1901-1917), il confie l'ensemble du domaine de Caillac à son amie Germaine Chirac, grand-mère de la famille Stehelin qui recueillit la succession.
Ne se visite pas.