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Catherine Tardif reçoit sa formation à l'Université du Québec à Montréal alors que le programme de baccalauréat en danse vient tout juste d'être créé. En 1982, elle conçoit dans ce cadre sa première chorégraphie Qu’est-ce qui est noir et blanc et qui fume ? et y fait la rencontre de Jean-Pierre Perreault, avec qui elle collabore en tant qu'interprète à l'œuvre Joe (1983)[2],[3].
Au cours des années 1980 et 1990, elle poursuit une double carrière d'interprète et de chorégraphe indépendante. En tant qu'interprète, elle travaille notamment avec la Fondation Jean-Pierre Perreault, la Compagnie Carbonne 14 (Gilles Maheu), le Carré des Lombes (Danièle Desnoyers), Cas public (Hélène Blackburn) et Fortier Danse-Création (Paul-André Fortier). Du côté du théâtre, elle collabore en tant qu'interprète et co-conceptrice avec la compagnie Ex Machina (Robert Lepage)[4],[5].
En mars 2001, elle fonde la Compagnie Et Marianne et Simon pour laquelle elle agit en tant que directrice artistique et chorégraphe. La première création, au titre éponyme, met en scène dix interprètes jumelés à dix compositeurs donnant lieu à dix solos dansés sur dix œuvres originales[6]. S'ensuit Trio Métal en 2002, en coproduction avec le Théâtre de Quat'sous. Le show western, présenté à l'Agora de la Danse en 2004. Le Show Triste en 2006 au Théâtre La Chapelle (en coproduction avec Danse-Cité). Le Show Poche, présenté au Festival TransAmériques (FTA) en 2009. À partir de 2010, elle partage la direction artistique avec le compositeur Michel F. Coté, très impliqué dans la compagnie depuis sa fondation.
Œuvres
1982 : Qu'est-ce qui est noir et blanc et qui fume?
↑Philip Szporer, « Catherine Tardif », dans Susan Macpherson, Encyclopédie de la danse théâtrale au Canada, Toronto, Dance Collection Danse Press, (ISBN9780929003429), p. 567
↑Guylaine Massoutre, « Rencontre avec Catherine Tardif, chorégraphe à projets », Jeu : revue de théâtre, no 113, , p. 148–154 (ISSN0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
↑Josiane Fortin, « Le rôle des femmes dans le développement des pratiques chorégraphiques expérimentales à Montréal dans la seconde moitié du XXe siècle », Études canadiennes / Canadian Studies, no 88, , p. 269–299 (ISSN0153-1700 et 2429-4667, DOI10.4000/eccs.3738, lire en ligne, consulté le )
↑Guylaine Massoutre, « Corps de femmes par elles-mêmes : hiver-printemps 1998 en danse », Jeu : revue de théâtre, no 89, , p. 128–136 (ISSN0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )
↑Fabienne Cabado, « Cadavres exquis pour série noire : le Show triste », Jeu : revue de théâtre, no 120, , p. 36–38 (ISSN0382-0335 et 1923-2578, lire en ligne, consulté le )