Aujourd'hui, Cardamine amara est un sujet très pertinent qui est discuté et analysé dans de nombreux domaines. De la politique à la science, Cardamine amara a retenu l'attention des experts et du grand public. Son impact est indéniable et son influence s’étend à différents aspects de la société moderne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur les différents aspects de Cardamine amara, ses implications et les solutions possibles. De son histoire à son avenir, nous plongerons dans une analyse détaillée qui cherche à faire la lumière sur ce sujet d’une grande importance aujourd’hui.
La Cardamine amère (Cardamine amara) est une espèce de plantes herbacées de la famille des Brassicacées.
Cardamine est la francisation du latin cardamina qui désignait en latin et en grec (kardaminê, kardamon ou kardamis) un cresson, sans doute le cresson alénois[2].
La cardamine amère est une plante herbacée vivace moyenne (20 à 50 cm de haut) formant souvent de grandes colonies.
L'appareil souterrain est réduit à une souche grêle, noueuse, stolonifère. Sa reproduction se fait essentiellement par voie végétative grâce à des détachement des segments du stolon. Ceux-ci se déplacent vers de nouveaux sites en même temps que les cours d’eau. La tige anguleuse, striée, rameuse, et très feuillée, présente une hétérophyllie marquée : les feuilles alternes sont pennatiséquées, toutes à folioles larges, obovales, anguleuses-dentées. Les feuilles basales sont à long pédoncule, les feuilles caulinaires supérieures presque sans pédoncule, aux folioles de même taille, elliptiques, bords dentés ou sinués. La Cardamine amère n'a pas de rosette basale, ce qui la distingue de la Cardamine des prés[3].
La période de floraison a lieu d'avril à juin. L'inflorescence est une grappe lâche au sommet de la tige qui porte de 2 à 30 grandes fleurs (1,5-2,5 cm de diamètre) gynodioïques. Le calice est composé de 4 sépales verts (3 mm de long) à base enflée et pointe arrondie. Les 4 pétales étalés (7–9 mm de long) de la corolle sont blancs et trois fois plus longs que le calice. Les fleurs présentent 6 étamines libres, de taille différente, à filet glabre et à anthère violacée. Le pistil est surmonté d'un seul style et d'un seul stigmate. La pollinisation est généralement autogame mais sa production de fruits est assez faible. L'infrutescence porte des siliques étalées-dressées (2–3 cm), un peu bosselées, à bec aigu, à pédicelles étalés-dressés, égalant plus de la moitié des fruits. La dissémination des graines marron clair et courtement ailées au sommet est anémochore[4].
Plante hygrophile exigeant un sol argileux riche en matière organique, son habitat typique est le bord de sources (souvent assez loin des zones détrempées), les marais d’épicéa, les ruisseaux, les fossés, les fourrés sur rives. Son aire de répartition est l'Europe, surtout centrale et boréale.
Selon NCBI (29 avril 2014)[5] :
Selon The Plant List (29 avril 2014)[1] :
Selon Tropicos (29 avril 2014)[6] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :