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Le type T (ou classe T) est un type d'astéroïdes qui apparait dans les trois classifications spectrales usuelles de Tholen (1984), Bus (ou SMASS-II) (1999) et Bus-DeMeo (2009). C'est l'une des petites classes situées en périphérie (dans l'espace des données spectrales) des trois grands « complexes » S, C, et X.
À fin 2023, la base de données « Small-Body Database » du Jet Propulsion Laboratory compte 1666 astéroïdes pour lesquels le type SMASS-II (classification de Bus) est renseigné, dont 19 astéroïdes appartenant au type T (1 %)[1],[2].
Le type T a été introduit en 1984 par David J. Tholen dans le cadre de ses travaux sur une nouvelle démarche de classification spectrale basée sur le traitement statistique des récentes données de l'enquête Eight Color Asteroid Survey (ECAS)[3].
Les astéroïdes de type T sont schématiquement caractérisés par un spectre rouge, sans relief d'absorption, continument croissant sur la zone visible et proche infrarouge, avec une courbure tendant vers un aplatissement. Ils sont tendanciellement sombres[réf. nécessaire].
Le tableau ci-dessous regroupe les descriptions spectrales originales, telles que proposées par David J. Tholen, Schelte J. Bus et Francesca E. DeMeo dans les publications décrivant leurs classifications respectives. Il indique également les astéroïdes alors mentionnés comme archétypes.
Les différences de description découlent pour partie des groupements statistiques obtenus mais aussi et surtout des différences de bandes spectrales considérées :
En particulier, la notion de gradient spectral (ou de spectre rouge ou bleu) se réfère toujours à ces bandes spectrales respectives (ou à une partie de celles-ci).
Type | Classification | Description originale | Prototypes |
---|---|---|---|
Type T | Tholen[4] | Albédo faible. Absorption modérée avant 0,85 μm puis spectre généralement plat après 0,85 μm. | |
Bus (SMASS-II)[4],[5] | Gradient moyennement rouge avant 0,75 μm puis généralement plat après 0,85 μm. | 96, 596, 3317 | |
Bus-DeMeo[6] | Profil linéaire, avec un gradient modéré à élevé, et souvent une légère courbure tournée vers le bas. | 96, 308, 773 |
À ce jour[Quand ?], leur composition reste inconnue[réf. nécessaire] et aucune aucune météorite de propriétés comparables n'est connue[réf. nécessaire]. Ils sont probablement anhydres[réf. nécessaire] et liés au types P et D, voisins dans l'espace des données spectrales.
Ils correspondent possiblement à des astéroïdes de type C altérés[réf. nécessaire].
À ce jour (2023), aucune sonde spatiale n'a survolé d'astéroïde appartenant au type T.