Dans le monde de Août 2013, il existe une grande diversité d’opinions, d’informations et d’expériences qui peuvent être abordées sous différents angles. Qu'il s'agisse de Août 2013 en tant que sujet d'actualité, personnalité publique pertinente ou événement historique, il est crucial de comprendre l'importance et l'impact qu'il a sur notre société. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Août 2013, en analysant son influence, sa portée et sa pertinence dans différents contextes. À travers une approche critique et réflexive, nous chercherons à mettre en lumière les différentes nuances entourant Août 2013, afin d'élargir notre compréhension et de générer un débat constructif.
22 août, Syrie : lors d'une conversation téléphonique avec le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, le président français François Hollande a évoqué l'usage probable d'armes chimiques lors de l'attaque la veille, le . Le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré qu'il souhaitait une réaction de force de la communauté internationale si l'usage d'armes chimiques par le régime syrien est avéré[4].
23 août, Syrie : le secrétaire à la défense américain Chuck Hagel a déclaré que le Pentagone déploie actuellement[Quand ?] des moyens militaires afin de fournir des options à Barack Obama si le président américain ordonnait une intervention[5]. Du côté de la Russie, Sergueï Lavrov, ministre des affaires étrangères, juge inacceptables les appels de certaines capitales européennes à faire pression sur le conseil de sécurité de l'ONU et décider dès maintenant de recourir à la force[6].
24 août, Syrie : le président des États-Unis Barack Obama, le président français François Hollande et le premier ministre britannique David Cameron sont convenus, lors d'une conversation téléphonique, que le régime de Damas avait probablement utilisé des armes chimiques contre sa propre population lors d'une attaque chimique survenue le en banlieue de Damas. Les trois dirigeants se sont déclarés profondément préoccupés par cette attaque et ont en revanche examiné plusieurs options militaires contre la Syrie[7],[8].