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André de Richaud, né le à Perpignan et mort le à Montpellier, est un écrivain, poète et dramaturge français.
Le père d'André de Richaud, professeur d'histoire, meurt au tout début des combats de la guerre de 1914 et il perd sa mère en 1923.
Il est collégien à Carpentras où il se lie d’amitié à Pierre Seghers, qui sera son éditeur. Étudiant en droit et en philosophie à Aix-en-Provence, il est maître d’internat au lycée Mignet en même temps que Marcel Pagnol. Grâce au conservateur de la bibliothèque Méjanes qui l’a pris en amitié, il rencontre André Gaillard, poète et fondateur des Cahiers du Sud et Joseph d’Arbaud, écrivain-félibre, directeur de la revue Le Feu.
À vingt ans il écrit La Douleur, son premier roman, dont Albert Camus, à qui Jean Grenier l'avait donné à lire, écrira :
« Je le lus en une nuit, selon la règle et, au réveil, nanti d'une étrange et neuve liberté, j'avançais hésitant sur une terre inconnue. Je venais d'apprendre que les livres ne verraient pas seulement l'oubli et la distraction… Il y avait une délivrance, un ordre de vérité où la pauvreté, par exemple, prenait tout à coup son vrai visage. La Douleur me fit entrevoir le monde de la création. »
En 1935, Richaud tisse de nouveaux liens d'amitié avec Jeanne Lohy et Fernand Léger, chez qui il vivra 14 ans, à Paris et en Normandie.
Alcoolique chronique, il a demandé à être interné chez celui qui internait Antonin Artaud[1]. Il est mort d'une opération d'une hernie[1].