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André de Brienne | |
![]() Ses armoiries ne sont connues que par un de ses sceaux, les couleurs restent donc inconnues[1]. | |
Autres noms | André de Ramerupt |
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Titre | Seigneur de Ramerupt (c. 1161 - 1189) |
Prédécesseur | Gautier II de Brienne |
Successeur | Érard de Brienne |
Allégeance | Comté de Champagne |
Biographie | |
Dynastie | Maison de Brienne |
Naissance | c. 1135 |
Décès | Saint-Jean-d'Acre |
Père | Gautier II de Brienne |
Mère | Adèle de Soissons |
Conjoint | Adélaïde de Venizy |
Enfants | Gautier de Brienne Érard de Brienne Elisabeth de Brienne Agnès de Brienne Ada de Brienne |
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André de Brienne (né vers 1135, † en 1189) est seigneur de Ramerupt et de Venizy en Champagne. Il est le fils de Gautier II, comte de Brienne, et d'Adèle de Soissons.
Croisé en 1189, il arrive le pour participer au Siège de Saint-Jean-d'Acre avec les premières troupes françaises qu'il mène avec Jacques d'Avesnes, Henri Ier des Barres, Robert II et Philippe de Dreux.
Le , Saladin lance une nouvelle attaque contre l'armée croisée qui assiège la ville. La bataille est rapidement remportée par les croisés, mais alors que la victoire est à portée de main, le camp des vainqueurs sombre dans l'anarchie et commence à s'enfuir. André de Brienne, qui était chargée du commandement de l'arrière garde, tente de les retenir et de les renvoyer au combat, mais il est alors renversé de son cheval. Étendu à terre et couvert de blessures, il crie son désespoir sans émouvoir ses compagnons d'armes, ni même son frère Erard qui fuient sans se retourner, le laissant ainsi mourir sur place. 7000 croisés seront également tués lors de cette bataille, dont Gérard de Ridefort, grand maître des templiers.
Avant 1167, il épouse Adélaïde de Venizy, fille d'Anseau de Traînel-Vénizy et d'Isabelle de Nangis (fille de Fleury de France, lui-même fils de Philippe Ier, roi de France, et de Bertrade de Montfort), dont il a cinq enfants[2] :
Vers 1195, sa veuve, Adélaïde de Venizy épouse en secondes noces Gaucher de Joigny, seigneur de Château-Renard.