Cet article abordera le sujet de Aldo Olivieri, qui a suscité un grand intérêt et un grand débat dans divers domaines. Aldo Olivieri est un sujet qui a retenu l'attention des spécialistes, des universitaires et du grand public en raison de sa pertinence et de son impact sur différents aspects de la vie quotidienne. Tout au long de l’histoire, Aldo Olivieri a fait l’objet d’études, d’analyses et de discussions, qui ont donné lieu à une grande diversité de points de vue et de perspectives. En ce sens, l’objectif de cet article est de fournir une vision complète et actualisée de Aldo Olivieri, afin d’offrir au lecteur une compréhension approfondie et rigoureuse de ce sujet.
Aldo Olivieri | ||
![]() | ||
Biographie | ||
---|---|---|
Nationalité | ![]() |
|
Naissance | San Michele Extra (Italie) |
|
Décès | Lido di Camaiore (Italie) |
|
Taille | 1,78 m (5′ 10″) | |
Période pro. | 1929 – 1943 | |
Poste | Gardien de but puis entraîneur | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
![]() |
||
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1929-1933 | ![]() |
96 (0) |
1933-1934 | ![]() |
8 (0) |
1934-1938 | ![]() |
120 | (0)
1938-1942 | ![]() |
81 (0) |
1942-1943 | ![]() |
32 (0) |
1945-1946 | ![]() |
? (?) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1936-1940 | ![]() |
24 (0) |
Parcours entraîneur | ||
Années | Équipe | Stats |
1945-1946 | ![]() |
|
1946-1947 | ![]() |
|
1948-1950 | ![]() |
|
1950-1952 | ![]() |
|
1952-1953 | ![]() |
|
1953-1955 | ![]() |
|
1956-1957 | ![]() |
|
1958-1959 | ![]() |
|
1959-1960 | ![]() |
adjoint |
1967-1968 | ![]() |
|
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. |
||
modifier ![]() |
Aldo Olivieri (né le à San Michele Extra en Vénétie et mort le à Lido di Camaiore en Toscane) est un footballeur international italien, qui jouait au poste de gardien de but avant d'ensuite devenir entraîneur.
En tant que joueur, il joue au Hellas Vérone, puis à l'AC Padoue, ensuite au Lucchese Libertas, à l' AC Torino (qu'il rejoint en 1938 à la demande de l'entraîneur Ernő Erbstein) et à l'AC Brescia.
Durant les années 1930, il devient le premier gardien de but italien à intégrer une formation de la FIFA lors d'un match amical contre l'Angleterre (dont participa également les joueurs italiens Foni, Rava ainsi que Silvio Piola)
Il remporte une Serie B en 1936.
Olivieri le gardien fut international italien à 24 reprises (1936-1940) pour aucun but[1] (disputant sa première sélection le lors d'un nul 2-2 contre l'Allemagne).
Il participe à la Coupe du monde de football de 1938. Il est titulaire dans tous les matchs (France, Brésil, Hongrie et Norvège) et remporte la Coupe du monde 1938 avec l'Italie.
Durant le début de l'après-guerre, Olivieri entame une carrière d'entraîneur (étant tout d'abord entraîneur-joueur avec le club de Viareggio), partant du modeste club de l'AS Lucchese-Libertas.
En 1938, il prend les rênes du club nordiste de l'Udinese, qu'il parvient à faire passer de la Serie C à la Serie A en moins de deux ans[2], avec un club d'une ville qu'il affectionnait particulièrement (il vivait dans un élégant appartement mis à sa disposition par le vice-président du club Raimondo Mulinaris, industriel dans le secteur alimentaire et propriétaire d'une importante fabrique de pâtes dans le centre de la via Cussignacco[3]).
Toujours en tant qu'entraîneur, il dirige ensuite l'Inter Milan, la Juventus (avec qui il dirige en tout 68 matchs, dont 32 victoires[4], dirigeant son premier match sur le banc le lors d'un succès sur Triestina 3-1 à l'extérieur en Serie A[5]), l'US Triestina (avec qui il fut suspendu pour un an en 1956 pour s'être occupé des transferts de joueurs dans son équipe, pratique à l'époque interdite[6]) et l'US Casertana. Il ne remporte rien en tant qu'entraîneur.
Il décède à l'âge de 90 ans dans la Versilia où il vivait depuis quelque temps (il était le dernier survivant de la coupe du monde 1938).
En tant que joueur
|
En tant qu'entraîneur
|
|
|