20 brumaire
Dans cet article, nous allons explorer en profondeur le sujet de 20 brumaire et son influence sur différents aspects de notre vie quotidienne. De son impact sur l’économie à son rôle dans la société, 20 brumaire est un sujet qui suscite l’intérêt des experts et des passionnés. Au cours des prochaines lignes, nous analyserons les différentes facettes de 20 brumaire et tenterons de faire la lumière sur certaines inconnues entourant ce phénomène. De plus, nous examinerons comment 20 brumaire a évolué au fil du temps et quel a été son impact sur la culture populaire. Il s’agit sans aucun doute d’un sujet fascinant qui mérite notre attention et notre réflexion.
| Primidi | 1er | 11 | 21 |
| Duodi | 2 | 12 | 22 |
| Tridi | 3 | 13 | 23 |
| Quartidi | 4 | 14 | 24 |
| Quintidi | 5 | 15 | 25 |
| Sextidi | 6 | 16 | 26 |
| Septidi | 7 | 17 | 27 |
| Octidi | 8 | 18 | 28 |
| Nonidi | 9 | 19 | 29 |
| Décadi | 10 | 20 | 30 |
| an I : | an VIII : |
| an II : | an IX : |
| an III : | an X : |
| an IV : | an XI : |
| an V : | an XII : |
| an VI : | an XIII : |
| an VII : | an XIV : |
Le décadi 20 brumaire, officiellement dénommé jour de la herse, est le 50e jour de l'année du calendrier républicain. Il reste 315 jours avant la fin de l'année, 316 en cas d'année sextile.
C'était généralement le 10e jour du mois de novembre dans le calendrier grégorien.
Événements
- An II :
- Dans le cadre d'une tentative de déchristianisation, décret faisant de la cathédrale Notre-Dame de Paris le Temple de la Raison[1] ; Chaumette y organise le culte de la Raison.
- An VIII :
- Bonaparte nomme Martin Michel Charles Gaudin au poste de ministre des Finances au lendemain même du coup d'État du 18 brumaire. Il assurera ces fonctions pendant tout le Consulat et l'Empire jusqu'au , puis à nouveau pendant les Cent-Jours, du 20 mars au .
- An XIV :
- Bataille de Dürenstein, indécise[2]
Naissances
Décès
- An II :
- Jean-Marie Roland de La Platière, économiste et homme politique français (° ).
Notes et références
- ↑ Lire en ligne le décret : « La Convention nationale, sur la demande des citoyens de Paris, convertie en motion par un membre, décrète que l'église métropolitaine est désormais le temple de la Raison. »
- ↑ Christophe-Guillaume Koch, Histoire abrégée des traités de paix entre les puissances de l'Europe depuis la paix de Westphalie, vol. 2, Meline, Cans et Compagnie, (présentation en ligne)
