Élection partielle

Aujourd'hui, Élection partielle reste un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large public. Avec l’avancée de la technologie et les transformations sociales, Élection partielle est devenue une problématique centrale qui impacte différents aspects de notre vie quotidienne. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou social, Élection partielle continue de générer des débats et des analyses constants. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives et approches liées à Élection partielle, dans le but d'offrir une vision complète et enrichissante sur ce sujet qui continue de capter l'attention d'un large éventail de lecteurs.

Élection provinciale thaï du 20 décembre 2020 de Koh Samui, comprenant Surat Thani, Thailande.

Une élection partielle est une élection spéciale qui se déroule dans une seule circonscription politique lorsqu'un député a démissionné ou est mort en mandat et doit être remplacé[1].

La participation électorale est habituellement moins élevée lors d'une élection partielle. Autrefois au Royaume-Uni, un député nommé au cabinet ministériel devait résilier son siège et se présenter à une élection partielle.

L'importance stratégique de ces élections augmente lorsqu'elles permettent d'accorder la balance du pouvoir ou le statut officiel de parti aux membres de l'Opposition. Au Royaume-Uni, les gouvernements de John Major et de James Callaghan sont devenus minoritaires en perdant un trop grand nombre d'élections partielles. Au Canada en Ontario, une élection partielle en 2004, gagnée par la candidate néo-démocrate, a permis à cette formation politique de franchir le seuil nécessaire pour constituer un caucus officiel à l'assemblée législative, ce qui lui permettait plusieurs privilèges parlementaires et financiers.

Références

  1. « Voter à une élection partielle fédérale », sur Élections Canada

Articles connexes

Canada
France