Aujourd'hui, Votations fédérales de 2009 en Suisse est un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Tant dans le domaine académique que dans le monde du travail, Votations fédérales de 2009 en Suisse a acquis une importance sans précédent en raison de ses multiples implications dans la société actuelle. De son impact sur l'économie à son influence sur la politique et la culture, Votations fédérales de 2009 en Suisse est devenu un sujet de débat constant. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Votations fédérales de 2009 en Suisse et analyserons sa pertinence dans divers contextes. Depuis ses origines jusqu’à sa projection future, Votations fédérales de 2009 en Suisse continue de susciter un grand intérêt et une grande controverse. Il est donc essentiel d’approfondir notre compréhension afin de relever efficacement ses défis et ses opportunités.
Huit votations fédérales ont été organisées en 2009 en Suisse.
Mois de février
Le , un objet est soumis à la votation : il s'agit d'un référendum.
Un référendum portant approbation de la reconduction de l’accord entre la Suisse et la Communauté européenne et ses États membres sur la libre circulation des personnes, ainsi qu’approbation et mise en œuvre du protocole visant à étendre l’accord sur la libre circulation à la Bulgarie et à la Roumanie[1].
Le , deux objets sont soumis à la votation : il s'agit de deux référendums.
Un référendum sur un article constitutionnel « Pour la prise en compte des médecines complémentaires » - (Contre-projet à l’initiative populaire « Oui aux médecines complémentaires », qui a été retirée)
Le Parlement a élaboré, sous la forme d’un article constitutionnel, un contre-projet à l’initiative populaire « Oui aux médecines complémentaires ». Cet article constitutionnel prescrit que la Confédération et les cantons pourvoient, dans les limites de leurs compétences respectives, à la prise en compte des médecines complémentaires. L’initiative ayant été retirée, le peuple et les cantons sont appelés à voter sur le contre-projet[2].
Un référendum portant sur l'introduction de données bio métriques enregistrées électroniquement dans le passeport suisse et dans les documents de voyage des personnes étrangères
Le Conseil fédéral et le Parlement ont décidé d’introduire définitivement le passeport électronique en Suisse. Les normes contraignantes pour les États de la zone Schengen sont ainsi aussi appliquées au passeport suisse. Un référendum a été lancé contre l’arrêté fédéral[2].
Le , deux objets sont soumis à la votation : il s'agit de deux référendums.
Un référendum portant sur le financement additionnel de l’Assurance-invalidité par un relèvement temporaire des taux de la TVA
Le projet prévoit un relèvement des taux de la TVA, de 2011 à 2017, en faveur de l’Assurance-invalidité. Étape fondamentale d’un plan d’assainissement, il permettra de stopper le déficit et la forte croissance de l’endettement de l’AI, mais aussi de libérer définitivement l’Assurance-vieillesse et survivants (AVS) du paiement des découverts de l’AI. Le financement additionnel est soumis au vote du peuple et des cantons, car il entraîne une modification de la Constitution[3].
L’initiative populaire générale a été inscrite dans la Constitution fédérale en 2003. Constatant qu’elle n’est pas applicable dans les faits, le Conseil fédéral et le Parlement propose de supprimer les dispositions constitutionnelles qui instituent cet instrument[3].
L'initiative propose de modifier la Constitution fédérale en y ajoutant un article 107 qui interdit totalement l'exportation, le transit, le courtage et le commerce de matériel de guerre et de biens militaires spéciaux, à l'exception des appareils servant au déminage ainsi que les armes de sport.
Un référendum portant un financement spécial en faveur du trafic aérien
Le produit de l’impôt sur les carburants utilisés dans l’aviation profite d’une part à la caisse générale de la Confédération et d’autre part au trafic routier. Le Conseil fédéral et le Parlement proposent de modifier l’article 86 de la Constitution de sorte que ces recettes puissent désormais revenir à la caisse générale de la Confédération et à l’aviation[4].