Voie intrathécale

Dans l'article que nous allons aborder ensuite, nous approfondirons Voie intrathécale, un sujet qui a sans aucun doute acquis une grande importance ces derniers temps. Voie intrathécale fait depuis longtemps l'objet d'études, de débats et de réflexions, et dans cet article, nous explorerons différentes perspectives et approches sur ce sujet important. De son impact sur la société actuelle à sa pertinence historique, en passant par ses implications dans divers domaines, nous nous plongerons dans une analyse approfondie et détaillée de Voie intrathécale, dans le but d'offrir aux lecteurs une vision complète et enrichissante de ce sujet.

De manière générale, l'adjectif « intrathécal(e) » est un terme médical signifiant « au sein d'une cloison ».

En médecine

En médecine humaine ou vétérinaire, on parle de ponction intrathécale ou d'injection intrathécale, donc faites dans un compartiment fermé ou un espace virtuel. On parle aussi de voie intrathécale

Cas le plus fréquent

L' injection intrathécale désigne en général plus particulièrement une injection sous l'arachnoïde (une des trois méninges).
L'injection dans l'espace sous-arachnoïdien permet d'atteindre le liquide céphalo-rachidien qui diffusera à son tour le produit injecté.
Pour la voie intrathécale dans ce cas, on parle aussi de voie intrarachidienne ou de voie spinale, tous ces termes indiquant une injection (ou ponction) dans le même endroit ; entre l'arachnoïde et la pie-mère. Elle est particulièrement utilisée pour la rachianesthésie.

Certains tests (par exemple, la PCR pour détecter la neuroborréliose de Lyme, l'une des expressions possibles de la maladie de Lyme) se montrent plus efficaces sur un échantillon prélevé par voie intrathécale que sur le LCS classique (liquide cérébrospinal) ; une étude de 2002 a évalué la PCR sur le LCS de 190 patients confirmés atteints de neuroborréliose non traitée ; l'ADN de B. burgdorferi n'a été détecté que dans 17 à 21 % des cas et plutôt chez les malades chroniques. La mesure de la production intrathécale d'anticorps spécifiques s'est avérée plus performante.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Notes et références

  1. Lebech AM (2002) “Polymerase chain reaction in diagnosis of Borrelia burgdorferi infections and studies on taxonomic classification“ ; APMIS Suppl. 2002;(105):1-40 (résumé)