Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons approfondir le sujet de Véronique Gazeau, qui a suscité un grand intérêt dans la société d'aujourd'hui. Afin de fournir une vue large et détaillée sur ce sujet, nous explorerons divers aspects liés à Véronique Gazeau, depuis son origine ou son évolution jusqu'à son impact dans différents contextes. Tout au long de l'article, nous examinerons les différentes perspectives et opinions entourant Véronique Gazeau, ainsi que les défis et opportunités qu'il présente. De même, nous approfondirons les solutions ou stratégies possibles pour faire face aux difficultés associées à Véronique Gazeau. En fin de compte, cet article vise à fournir aux lecteurs une compréhension plus profonde et plus complète de Véronique Gazeau, dans le but d'encourager le dialogue et la réflexion sur ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Présidente Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public (d) | |
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- | |
Dominique Valérian (d) | |
Présidente Société d'histoire du droit et des institutions des pays de l'Ouest de la France (d) | |
depuis | |
Jacqueline Musset (d) |
Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
Université de Caen-Normandie (doctorat) (jusqu'en ) |
Activité |
A travaillé pour | |
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Membre de |
Centre de recherches archéologiques et historiques anciennes et médiévales Comité des travaux historiques et scientifiques Société d'histoire du droit et des institutions des pays de l'Ouest de la France (d) |
Directeurs de thèse |
Véronique Gazeau, née le [1], est une médiéviste française.
Professeur d'histoire médiévale à l'université de Caen, elle est notamment titulaire d'un CAPES d'histoire-géographie et d'un doctorat de 3e cycle en histoire médiévale, obtenu à l'université de Caen en 1987, qui portait sur « Monachisme et aristocratie au onzième siècle : l'exemple de la famille de Beaumont ».
Le , elle a soutenu un dossier d'Habilitation à diriger des recherches intitulé « Recherches sur l’histoire de la principauté normande (911-1204) » présenté à l’université Panthéon-Sorbonne devant un jury composé de François Neveux, professeur à l’université Caen-Normandie, président ; Michel Parisse, professeur à l’université Panthéon-Sorbonne, rapporteur ; Mathieu Arnoux, professeur à l’université Paris-Diderot ; David Bates, professeur à l’université de Glasgow ; René Locatelli, professeur émérite à l’université de Franche-Comté ; Claude Lorren, professeur à l’université Caen-Normandie.
Elle a été directrice de l'Institut d'Histoire du Moyen Âge de l'université Caen-Normandie, elle est également membre du Centre de recherches archéologiques et historiques anciennes et médiévales (CRAHAM). En 2010, elle a été désignée par la médiéviste Régine Le Jan pour lui succéder comme présidente de la SHMESP[2] (Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public), fonction qu'elle occupe jusqu'en 2016. L'importance de ses travaux de recherche lui a valu de siéger 8 années à la Commission 32 (mondes anciens) du CNRS, qu'elle a présidée 4 années durant, et de siéger au jury de l'IUF (2010-2011), pour la promotion des meilleurs médiévistes. Elle est aussi présidente de la Société d'histoire du droit et des institutions des pays de l'ouest de la France depuis 2004[3], et membre du CTHS (Comité des travaux historiques et scientifiques). Depuis 2008, elle siège au comité éditorial du Journal of Medieval History[4].
Son travail porte principalement sur les abbés normands entre 950 et 1150 environ.