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La formule du calcul de la réserve de participation est la suivante :
Avec :
Le coefficient de 5% représente le coût financier du capital, c'est à dire le coût de l'argent du capital. Ce taux a été fixé en 1967 et jamais revu depuis lors.
La coefficient , qui fut surnommé « coefficient scélérat » en 1967, trouvait alors sa justification avec le taux d'impôt sur les société (50% à l'époque). En effet, la déductibilité de la réserve spéciale de participation (RSP) et de la provision pour investissement[1] (PPI, égale à la RSP) rendait neutre le coût de la participation pour l'entreprise la première année. Ce coefficient permettait donc de diminuer le coût de la participation pour la collectivité qui prenait en charge le mécanisme de participation[2]. Toutefois, la provision pour investissement était réintégrable par la suite. Il s'agissait donc simplement d'un décalage d'imposition.
Ainsi, en 1967, une entreprise réalisant un bénéfice de 100 avec une RSP de 15 :
L'assiette salariale est constituée par le montant des rémunérations brutes payées au cours de l’année civile[3]. La base de calcul est la même que celle des cotisations de sécurité sociale.
Par conséquent, les rémunérations à inclure dans l'assiette sont :
Il convient donc d'exclure de l'assiette salariale de la participation les sommes suivantes :
La valeur ajoutée est égale à la somme des rubriques comptables suivantes :
Attention : la valeur ajoutée n'est pas celle du solde intermédiaire de gestion calculée selon le PCG.
La valeur de C correspond au total des capitaux propres de l'entreprise, y compris les provisions fiscalement non déductibles (provision pour impôt, provision pour retraite) présente en début d'exercice, diminué :
En cas d'augmentation ou de diminution du capital en cours d'exercice, le capital est déterminé au prorata temporis de ces variations.
Le bénéfice distribuable est égal au bénéfice fiscal avant IS duquel on déduira :
Et on y ajoutera :
La répartition et le placement de la participation peut être régi par un accord d'entreprise. Cet accord peut également prévoir des dispositions plus avantageuses pour les salariés. Il existe trois façons de conclure un accord de participation[5] :
En l'absence d'accord, la loi fixe d'autorité le mode de fonctionnement de la réserve de participation.