Dans l'article suivant, nous explorerons en profondeur le sujet de Utilisateur:Gabloqc/Brouillon et analyserons son impact sur divers aspects de la société. De son origine à son évolution aujourd’hui, nous approfondirons ses implications historiques, culturelles et sociales. De plus, nous examinerons les différentes perspectives et opinions qui existent autour de Utilisateur:Gabloqc/Brouillon et comment celles-ci ont influencé sa perception dans la société. Sans aucun doute, Utilisateur:Gabloqc/Brouillon a fait l’objet de débats et de controverses au fil du temps, c’est pourquoi cette analyse cherchera à fournir une vision complète et objective de sa pertinence aujourd’hui.
En 1974, il est acteur et chorégraphe pour un spectacle de l'acteur, auteur et metteur en scène Jacques Guimet, qu'il avait probablement rencontré sur le plateau d'Au théâtre ce soir en 1966. Il s'agit alors de Les comptoirs de la Baie d'Hudson (Merchant Ships), création au Théâtre de la Gaité lyrique à Paris, avec une scénographie d'Alain Chambon. Ducher y interprétait le personnage de Comme-tu-veux.[1]
Il termine sa carrière comme psychologue, puis en tant qu'enseignant de psychologie dans une université chinoise, la Beijing Normal-Hong Kong Baptist University.
En 2014, il signe Loin de Chine[2], une biographie familiale romancée qu'il publie chez Paulo-Ramand.[3]
Serge Ducher était plus à l'aise dans les scènes d'émotion que dans les scènes d'enthousiasme romanesque. Il a dû faire verser des larmes au cinquième acte. (Jacques Siclier,Le Monde)[6]
Extrait de son livre, Loin de Chine :
Serge Ducher en 2014
Je suis l’imprévisible, le cadet,l’eau qui dort, l’attente inattendue. J’ai vécu trop longtemps loin de la Chine. Il aura donc fallu que je vienne y vivre pour savoir la liberté d’être maudit. Car si nous avons été élevés en Occident selon une conception évolutionniste du monde, dans l’empire du milieu c’est la sagesse des anciens qu’il faut suivre, il faut mettre son pas dans ceux de ses ancêtres qui remontent jusqu’au ciel, et transmettre leur mesure d’eau claire, en évitant de la troubler. Les temps intéressants deviennent alors équivalents à des temps de dérèglements et de discordes. Moi c’est plutôt un chemin sans traces que je dois suivre, ou plus exactement submergés de pas qui s’embrouillent les uns les autres. Et pour me retrouver dans leurs restes me voilà donc contraint de les écrire.[5]
Notes et références
↑Jacques Guimet, Les comptoirs de la baie d'Hudson, P. J. Oswald, (lire en ligne)