Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Tudorel Toader, en analysant son importance dans le contexte actuel et son influence sur différents aspects de la société. Tout au long de l'histoire, Tudorel Toader a joué un rôle crucial dans la vie des gens, leur évolution et leur développement. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Tudorel Toader a fait l'objet de débats, d'études et d'intérêt de la part des experts et des fans. A travers cet article, nous chercherons à faire la lumière sur les différents aspects liés à Tudorel Toader, en examinant son impact sur la culture, l'économie, la politique et d'autres domaines de la vie quotidienne.
Tudorel Toader | |
![]() Tudorel Toader en 2013. | |
Fonctions | |
---|---|
Ministre roumain de la Justice | |
– (2 ans, 2 mois et 1 jour) |
|
Premier ministre | Sorin Grindeanu Mihai Tudose Mihai Fifor (intérim) Viorica Dăncilă |
Gouvernement | Grindeanu Tudose Dăncilă |
Prédécesseur | Ana Birchall (intérim) Florin Iordache |
Successeur | Ana Birchall |
Recteur de l'université Alexandru Ioan Cuza de Iași | |
– (1 an) |
|
Juge à la Cour constitutionnelle de Roumanie | |
– (10 ans) |
|
Prédécesseur | Constantin Doldur |
Successeur | Attila Varga |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Vulturu (Roumanie) |
Nationalité | Roumaine |
Parti politique | Indépendant |
Profession | Magistrat |
modifier ![]() |
Tudorel Toader, né le , est un magistrat et homme politique roumain. Il est ministre de la Justice de 2017 à 2019.
Le , Toader lance une procédure de destitution à l'encontre de Laura Codruța Kövesi, chef de la Direction nationale anticorruption, tandis que le président Klaus Iohannis, à qui il revient de mettre fin à ses fonctions s'il le souhaite, affirme qu'il s'est déclaré « à plusieurs reprises content de l’activité du DNA et de sa direction, un point de vue qu'il maintient »[1]. Le , une manifestation est organisée pour la soutenir[2]. Kövesi reçoit aussi le soutien du Conseil supérieur de la magistrature[3]. Le , la Cour constitutionnelle ordonne au président de la destituer, estimant que le président ne possède pas de « pouvoir discrétionnaire »[4]. L'opposition estime que la décision, prise par six juges sur neuf, « porte gravement atteinte à la crédibilité »[5]. Menacé de destitution par le PSD, Klaus Iohannis destitue finalement Laura Codruța Kövesi le [6]. Le , le ministre de la Justice nomme Adina Florea, procureure à la cour d'appel de Constanta, et réputée proche des sociaux-démocrates, pour lui succéder[7].