Dans le monde d’aujourd’hui, Tom Gehrels est devenu un sujet d’intérêt général de plus en plus pertinent. Avec l’avancée de la technologie et les changements de la société, Tom Gehrels a non seulement retenu l’attention des spécialistes du domaine, mais aussi du grand public. C'est pourquoi il est crucial d'approfondir les aspects les plus pertinents de Tom Gehrels, afin que son impact puisse être compris dans différents domaines et contextes. Dans cet article, nous approfondirons l'analyse de Tom Gehrels, explorant ses différentes dimensions et ses implications aujourd'hui. De ses origines à son évolution actuelle, nous verrons comment Tom Gehrels a façonné notre façon de comprendre le monde qui nous entoure.
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 86 ans) Tucson |
Nationalité | |
Domicile |
Heemstede (à partir de ) |
Formation | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Conflit | |
Directeur de thèse | |
Distinction |
Découvreur d'astéroïdes (d) |
Tom Gehrels, né le à Haarlemmermeer et mort le à Tucson, est un astronome néerlando-américain.
Il contribue au montage du programme Spacewatch consacré à la recherche d'astéroïdes géocroiseurs.
Il a découvert un nombre important de comètes, dont les comètes périodiques 64P/Swift-Gehrels avec Lewis Swift, 78P/Gehrels, 82P/Gehrels et 90P/Gehrels.
D'après le Centre des planètes mineures[1], il a découvert 4 660 astéroïdes numérotés entre 1960 et 1977, dont les astéroïdes Apollo (1864) Dédale et (5011) Ptah, l'astéroïde Amor (4587) Rees, ainsi que des douzaines d'astéroïdes troyens.
La plupart de ses découvertes d'astéroïdes (4641 sur 4660) furent faites conjointement avec le couple Cornelis Johannes van Houten et Ingrid van Houten-Groeneveld. Dans le cadre du Relevé Palomar-Leyde, il fit un balayage du ciel à l'aide du télescope de Schmidt de 48 pouces de l'observatoire Palomar. Il expédia par la suite les plaques aux deux astronomes néerlandais à l'observatoire de Leyde, qui les analysèrent pour trouver de nouveaux astéroïdes. Le trio est crédité conjointement de plusieurs milliers de découvertes. Il publie des articles dans l'Astronomical Journal.
Durant la Seconde Guerre mondiale Gehrels faisait partie de la résistance néerlandaise et il a interviewé des prisonniers politiques survivants qui étaient forcés à fabriquer des fusées V1 et V2 sous la supervision de Wernher von Braun. Il affirme que von Braun portait une plus grande responsabilité et culpabilité dans le mauvais traitement des prisonniers que ne le laissait paraître sa biographie officielle aseptisée[2].
Il meurt le à 86 ans. L'astéroïde (1777) Gehrels a été nommé en son honneur. Il est le père de l'astrophysicien Neil Gehrels.