Dans le monde d'aujourd'hui, Théorie des singularités est une question qui a pris une grande importance dans la société. Depuis plusieurs années maintenant, Théorie des singularités est devenu un point d'intérêt pour les chercheurs, les entreprises et les gouvernements, suscitant de nombreux débats sur ses implications et ses conséquences. L'importance de Théorie des singularités s'est reflétée dans divers domaines, de la politique à la technologie, en passant par la culture et l'économie. Dans cet article, différentes approches et perspectives sur Théorie des singularités seront discutées, dans le but de mieux comprendre son impact aujourd'hui et dans le futur.
La théorie des singularités est l'analyse des familles d'objets suivant leur degré de généricité, particulièrement développée par René Thom. Conçue comme une théorie qualitative des fonctions ou des hypersurfaces, elle joue un rôle, sous l'impulsion de Vladimir Arnold, dans de nombreuses branches des mathématiques et de la physique mathématique. Elle est une façon de penser et de hiérarchiser les problèmes.
Un exemple simple est donné par les courbes de niveau de la fonction :
La courbe de niveau pour une valeur positive est un cercle. La valeur 0 est singulière et pour les valeurs négatives, la courbe est vide. Cette bifurcation est générique dans le sens où toute perturbation de la fonction dans un voisinage de l'origine donnera une famille de courbes avec le même comportement.
Par exemple, si l'on considère la déformation
alors pour des valeurs suffisamment petites de t et dans un voisinage de l'origine, les courbes de niveau de la fonction perturbée sont des ovales, un point ou vide. De ce point de vue, la théorie des singularités ne fait que reprendre et moderniser, les concepts de généricité des géomètres algébristes.