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Thomas François Ambroise Jouenne-Longchamp | |
Fonctions | |
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Député du Calvados | |
– (2 ans, 11 mois et 19 jours) |
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Gouvernement | Convention nationale |
Député au Conseil des Cinq-Cents | |
– (4 ans et 27 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Beuvron-en-Auge, France |
Date de décès | (à 56 ans) |
Lieu de décès | Bruxelles (Belgique) |
Nationalité | ![]() |
Parti politique | Gauche |
Profession | Officier municipal |
députés du Calvados | |
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Thomas François Ambroise Jouenne-Longchamp, né le à Beuvron-en-Auge (Calvados), mort le à Bruxelles (Belgique), est un homme politique de la Révolution française.
En septembre 1792, alors qu'il est officier municipal à Lisieux, Jouenne-Longchamp est élu député du département du Calvados, le neuvième sur treize, à la Convention nationale[1].
Il siège sur les bancs de la Plaine. Lors du procès de Louis XVI, il vote la mort et rejette l'appel au peuple et le sursis à l'exécution[2]. En avril 1793, il vote en faveur de la mise en accusation de Jean-Paul Marat[3]. En mai de la même année, il vote en faveur du rétablissement de la Commission des Douze[4].
Réélu au conseil des Cinq-Cents, secrétaire de l'assemblée, il se montre hostile au coup d'État du 18 Brumaire. Il est expulsé en 1816, comme conventionnel régicide.
« Thomas Jouenne-Longchamp », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]