Dans le monde d'aujourd'hui, There Is Nothing Left to Lose est un sujet ou une personne qui a acquis une grande importance en raison de ses répercussions dans divers domaines de la société. Que ce soit au niveau politique, social, économique ou culturel, There Is Nothing Left to Lose a retenu l'attention des experts et des citoyens, suscitant un débat intense autour de lui. Son influence s’étend à l’échelle mondiale, provoquant des changements importants qui affectent des millions de personnes à travers le monde. Comme There Is Nothing Left to Lose continue de faire l’objet d’intérêt et de recherche, il est crucial d’analyser ses implications et conséquences en détail pour mieux comprendre son importance aujourd’hui. Dans cet article, nous approfondirons le phénomène There Is Nothing Left to Lose, en explorant ses origines, son évolution et ses projections futures pour faire la lumière sur sa véritable signification et sa portée.
Sortie | |
---|---|
Enregistré |
mars-juin 1999 Studio 606, Alexandria |
Durée | 46:24 |
Genre |
Post-grunge Rock alternatif Grunge |
Producteur |
Adam Kasper Foo Fighters |
Label |
Roswell RCA Records |
Albums de Foo Fighters
Singles
There Is Nothing Left to Lose est le troisième album studio du groupe Foo Fighters, sorti en 1999.
À la suite du départ de Pat Smear en 1997, Franz Stahl, ancien guitariste de Scream, devient le temps d'une tournée membre des Foo Fighters. C'est finalement sans ce dernier, mais bien à trois, qu'ils enregistrent There Is Nothing Left to Lose. Chris Shiflett complète le groupe pendant une tournée.
L'album a remporté en 2001 le Grammy Award du meilleur album rock.
|
|
Toutes les chansons sont écrites et composées par Dave Grohl, Nate Mendel et Taylor Hawkins.
No | Titre | Durée |
---|---|---|
1. | Stacked Actors | 4:17 |
2. | Breakout | 3:21 |
3. | Learn to Fly | 3:58 |
4. | Gimme Stitches | 3:42 |
5. | Generator | 3:48 |
6. | Aurora | 5:50 |
7. | Live-In Skin | 3:53 |
8. | Next Year | 4:37 |
9. | Headwires | 4:38 |
10. | Ain't It The Life | 4:17 |
11. | M.I.A. | 4:03 |