Dans cet article, le sujet de The Dome (revue) sera abordé dans une perspective multidisciplinaire, explorant ses implications dans différents domaines de la vie quotidienne. L'impact que The Dome (revue) a eu sur la société sera analysé, ainsi que les implications possibles que cela pourrait avoir dans le futur. A travers une revue exhaustive de la littérature spécialisée, nous chercherons à fournir une vision globale et actualisée de ce sujet, afin de susciter la réflexion et le débat autour de celui-ci. Différentes approches et avis d'experts seront présentés, ainsi que des exemples concrets qui illustrent la pertinence et la portée de The Dome (revue) aujourd'hui. Cet article a pour objectif de fournir un aperçu complet et enrichissant de The Dome (revue), en donnant aux lecteurs les outils nécessaires pour bien le comprendre.
The Dome | |
![]() Couverture d'octobre 1898. | |
Pays | ![]() |
---|---|
Langue | Anglais |
Périodicité | trimestriel puis mensuel |
Genre | Art, littérature |
Date de fondation | mars 1897 |
Date du dernier numéro | juillet 1900 |
Ville d’édition | Londres |
ISSN | 2043-2062 |
OCLC | 1566878 |
modifier ![]() |
The Dome est une revue artistique et littéraire britannique illustrée publiée à Londres entre 1897 et 1900.
D'abord sous-titrée A Quarterly Containing Examples of All the Arts et trimestrielle, The Dome est éditée par Ernest James Oldmeadow (1867-1949)[1], directeur de la maison d'édition The Unicorn Press, implantée à Londres, au 26 Pater Noster Square, au pied de la cathédrale Saint-Paul, puis déménage au 7 Cecil Court (en). Le premier numéro sort en mars 1897 au prix de 1 shilling[2].
Avec The Yellow Book (1894-1897) et The Savoy (1896), elle est l'une des revues britanniques phares de cette époque, mais se détache de l'esprit décadentiste de ses deux consœurs. La pensée de Walter Pater influence beaucoup son contenu rédactionnel, ainsi que l'esthétique préraphaélite[3].
En octobre 1898, elle devient mensuelle et prend comme sous-titre An Illustrated Monthly Magazine and Review of Literature, Musique, Architecture and the Graphic Arts.
Elle prend fin en juillet 1900.
Côté illustrations, y trouve des reproductions de gravures de maîtres anciens comme Lucas Cranach, Albrecht Dürer, Martin Schongauer, John Constable, Piranèse, d'artistes japonais comme Hiroshige, Hokusai et Utamaro, mais aussi des modernistes.