Dans cet article, le sujet de Techniscope sera abordé sous différentes perspectives et approches. Techniscope est un sujet d'une grande actualité aujourd'hui, qui a retenu l'attention des experts, des chercheurs et du grand public. Tout au long de l’histoire, Techniscope a fait l’objet de nombreuses études, débats et réflexions, démontrant l’importance de comprendre son impact et sa portée. En ce sens, l’objectif principal de cet article est d’analyser les différentes dimensions de Techniscope, en offrant un aperçu complet qui permet aux lecteurs de comprendre sa signification, ses implications et ses répercussions possibles dans différents domaines de la société. De plus, de nouvelles recherches et découvertes seront présentées qui élargiront notre compréhension de Techniscope, offrant une vision mise à jour et enrichissante sur ce sujet très pertinent.
Le Techniscope est un format de prise de vues cinématographique consistant à exposer chaque image sur la hauteur de deux perforations d'un film 35 mm au lieu des quatre habituelles. Ce procédé permet un format d'image de 2,33:1 proche de celui du CinemaScope, pour un coût et une qualité d'image moindres puisqu'il utilise deux fois moins de film.
Le premier film tourné en Techniscope sort en décembre 1960 : La Princesse du Nil, avec Linda Cristal. Sergio Leone l'utilise pour ses films Pour une poignée de dollars (1964), Le Bon, la Brute et le Truand (1966), et Il était une fois dans l'Ouest (1968), Robert Enrico dans Les Grandes Gueules (1965), et plus tard George Lucas l'utilisera pour des raisons économiques et de style pour American Graffiti (1973). James Cameron utilise le procédé en 1997 pour réaliser les vues sous-marines du Titanic, le Techniscope doublant la durée de tournage d’un magasin de caméra, il se révèle idéal pour des prises de vues aux conditions d’accès difficiles.