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Conservatrice de musée | |
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Cannon |
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Musée national d'histoire américaine (à partir de ) |
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Distinction |
Prix Pfizer () |
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Susan Faye Cannon, née Walter Faw Cannon ( à Durham, Caroline du Nord - ) est une historienne des sciences américaine.
Fils de James Cannon III (1892-1960), doyen de la Divinity School de l'Université Duke, Walter F. Cannon est diplômé en physique de l'Université de Princeton[2]. Passant à l’histoire des sciences, il obtient son doctorat obtenu à l'Université Harvard en 1956, avec une thèse intitulée « On uniformity and progression in early Victorian cosmography » (De l’uniformité et de la progression dans la cosmographie victorienne primitive). Au début des années 1960, il écrit des articles influents sur la géologie uniformitarienne, le réseau de Cambridge, la tidologie de William Whewell, John Herschel, la relation de Charles Darwin à William Paley, l'anglicanisme libéral et la place générale de la science dans la culture du XIXe siècle. De 1962 à 1979, Cannon, en tant qu’historien des sciences, est conservateur de la collection Physique classique et géosciences de la Smithsonian Institution. Il fonde et est le premier éditeur du Smithsonian Journal of History.
En 1976, Cannon change son nom en Susan Faye Cannon, se désignant par la suite comme une "femme masculine" ('male woman')[2].
En 1979 Susan Faye Cannon reçoit le prix Pfizer, pour son ouvrage Science in Culture: The Early Victorian Period (New York: Science History Publications, 1978), qui regroupe plusieurs articles précédemment parus qu'elle a actualisés et augmentés. Elle met notamment en lumière le réseau de Cambridge et la fondation de la British Associtation for the Advancement of Science (BAAS)[3]. Ce « Cambridge Network » est un petit groupe de philosophes naturels à inclination mathématique, dont le membre le plus connu était William Herschel astronome britannique, également philosophe, physicien, météorologue et pionnier de la photographie. Le livre est l'objet de multiples recensions et critiques[4],[5],[6].