Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons approfondir le sujet de Society of Antiquaries of London, une question qui a suscité un grand intérêt ces derniers temps. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Society of Antiquaries of London a fait l'objet de débats et d'analyses dans divers domaines, de la politique à la science, en passant par la culture et la société en général. Dans cet article, nous explorerons les différentes perspectives et approches qui ont été données à Society of Antiquaries of London au fil du temps, ainsi que son impact et sa pertinence dans le monde contemporain. A travers une analyse exhaustive et rigoureuse, nous chercherons à faire la lumière sur ce sujet passionnant et complexe, dans le but de fournir à nos lecteurs une vision complète et actualisée de Society of Antiquaries of London.
Fondation |
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Type | |
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Domaines d'activité | |
Siège | |
Pays |
Volontaires |
130 (), 125 (), 162 () |
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Effectif |
30 employés (), 29 employés (), 28 employés () |
Fondateur |
Peter Le Neve (en) |
Chiffre d'affaires | |
Site web |
La Society of Antiquaries of London (connue en français sous le nom de Société des antiquaires de Londres)[1] est une société savante tricentenaine siégeant à Londres. C'est la première association britannique d'archéologues et d'historiens.
L'anglais antiquary a trois acceptions : 1. collectionneur/-euse d’objets anciens, 2. archéologue mf, 3. antiquaire mf[2]
Fondée à Londres en 1707, elle publie la revue annuelle Antiquaries Journal[3],[4].
Les premières femmes membres y furent admises en 1921[5].
Les membres se réunissent à Burlington House.
La liste exhaustive des sociétaires (Fellows of the Society of Antiquaries ou FSA) est publiée sur le site de la société sur la Toile[6].