Shōgorō Nishimura

Dans cet article, nous aborderons Shōgorō Nishimura dans une perspective complète et détaillée, afin de fournir à nos lecteurs une vision complète et enrichissante sur ce sujet. Dans cette optique, nous explorerons différentes facettes, études et opinions liées à Shōgorō Nishimura, dans le but de proposer une analyse globale et actualisée. De son origine à son évolution actuelle, en passant par son impact sur la société et sa pertinence dans différents domaines, cet article se veut une source de connaissances enrichissante pour tous ceux qui souhaitent entrer dans le monde de Shōgorō Nishimura.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Nishimura.

Shōgorō Nishimura
Naissance
Préfecture de Shiga (Japon)
Nationalité Japonaise
Décès (à 87 ans)
Profession Réalisateur
Films notables La Femme aux seins percés
Le Jardin secret des ménagères perverses

modifier

Shōgorō Nishimura (西村昭五郎, Nishimura Shōgorō?), né le et mort le , est un réalisateur japonais.

Biographie

Shōgorō Nishimura a fait ses études à l'université de Kyoto.

Il a réalisé une centaine de films entre 1963 et 1994[1].

Filmographie partielle

Masako Izumi et Sayuri Yoshinaga dans Seishun no umi (1967).
  • 1963 : Keirin shōnin gyōjōki (競輪上人行状記?)
  • 1966 : Namida kun sayonara (涙くんさよなら?)[2]
  • 1966 : Futeki na aitsu (不敵なあいつ?)
  • 1967 : Seishun no umi (青春の海?)
  • 1967 : Hana o kū mushi (花を喰う蟲?)[3]
  • 1967 : Hatoba no taka (波止場の鷹?)
  • 1967 : Tōkyō shigaisen (東京市街戦?)
  • 1968 : Hoshikage no hatoba (星影の波止場?)
  • 1968 : Seishun no kaze (青春の風?)
  • 1968 : Moeru tairiku (燃える大陸?)
  • 1971 : Le Jardin secret des ménagères perverses (団地妻 昼下がりの情事, Danchizuma: Hirusagari no jōji?)[4]
  • 1976 : Tsumatachi no gogo yori: Kannō no ori (「妻たちの午後」より 官能の檻?)
  • 1977 : Nikutai no mon (肉体の門?)
  • 1979 : Kinjirareta taiken (禁じられた体験?)
  • 1979 : Kibōgaoka fūfū sensō (希望ケ丘夫婦戦争?)
  • 1980 : Uno Koichiro no nurete modaeru (宇能鴻一郎の濡れて悶える?)
  • 1983 : La Femme aux seins percés (乳首にピアスをした女, Chikubi ni piasu o shita onna?)

Notes et références

  1. ↑ (ja) « Filmographie », sur JMDb (consulté le )
  2. ↑ (ja) « 涙くんさよなら » , sur www.nikkatsu.com (consulté le )
  3. ↑ (ja) « 花を喰う蟲 » , sur www.nikkatsu.com (consulté le )
  4. ↑ Le Jardin secret des ménagères perverses : titre français du film lors de la rétrospective « La Nikkatsu où la modernité toujours recommencée » du 2 octobre au 27 octobre 2007 à la MCJP

Liens externes