Dans le monde d'aujourd'hui, Royal Robbins est un sujet qui a acquis une pertinence sans précédent. Tant au niveau personnel que global, Royal Robbins est devenu l'une des principales préoccupations de la société, générant des débats, des recherches et des changements significatifs dans différents domaines. De la sphère scientifique à la sphère culturelle, la présence de Royal Robbins a marqué notre façon de vivre, de penser et d'interagir avec notre environnement. Par conséquent, il est impératif d’explorer pleinement les implications et les conséquences de Royal Robbins, ainsi que de réfléchir aux solutions et stratégies possibles pour relever les défis qu’elle pose. Dans cet article, nous approfondirons le large spectre des aspects liés à Royal Robbins, dans le but de proposer un regard critique et enrichissant sur ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
Royal Robbins est né le [1]. Il travaille d'abord dans une banque, puis monte une affaire d'importation et de vente de matériel de montagne et se consacre définitivement à l'escalade. Il acquiert sa technique et son style sur la falaise de Tahquitz proche de Los Angeles et impose rapidement sa suprématie dans le Yosemite, où quasiment toutes les voies d'envergure ont été gravies par Robbins.
Royal Robbins est l'inventeur d'un système de hissage de sac à l'aide de poulie et de jumars.
1971 - Robbins réalise avec Don Lauria la deuxième ascension du Wall of Early Morning Light (aussi appelé Dawn Wall), ouvert l'année précédente par Warren Harding(en) et Dean Caldwell, et qui avait soulevé la polémique du fait des 300 pitons à expansions utilisées. Robbins avait initialement l'intention d'« effacer la voie » en coupant les expansions au fur et à mesure de l'ascension. Après deux longueurs, Robbins s'arrêta parce que, selon Lauria, « le niveau de l'escalade artificielle était bien plus élevé que ce qu'il aurait attendu de Harding ou Caldwell et, bien sûr, parce que c'était aussi horriblement long de couper tous ces foutus spits »[2]
Publications
(en) Royal Robbins, Basic rockcraft, La Siesta Press, , 71 p.
(en) Royal Robbins, Advanced rockcraft, La Siesta Press, , 96 p.
↑(en) « the quality of the aid climbing was much higher than he had ever expected of Harding or Caldwell and, of course, it was also taking us an awful long time to chop all those goddam bolts. » cité par Warren J. Harding Downward Bound: a Mad! guide to Rock Climbing, Menasha Ridge Press, 1990 (première édition en 1975), pp. 165–167