Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons approfondir le sujet de Rotin, une question qui a généré des débats et des controverses ces derniers temps. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Rotin a fait l'objet d'études par des experts dans le domaine, qui ont consacré d'innombrables heures de recherche à sa compréhension. Tout au long de cet article, nous examinerons différents aspects liés à Rotin, de son impact sur la société aux solutions et alternatives possibles qui ont été proposées. Notre objectif est de fournir une vision holistique et complète de Rotin, offrant au lecteur une analyse détaillée et rigoureuse qui permet une compréhension approfondie de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Le rotin est un palmier à lianes ayant des épines et qui possède au bout de ses feuilles un flagelle dont les crochets lui permettent de ramper sur les arbres[1].
Utilisation
Ils fournissent un matériau très utilisé en vannerie (cannage, fabrication de meubles). Les artisans qui travaillent le rotin sont appelés rotiniers.
Anne Bauta, Technique du rotin, Dessain et Tolra, Paris, 1982, 79 p. (ISBN2-249-22001-8)
(en) J. Dransfield et N. Manokaran, Plant resources of South-East Asia, 6. Rattans, Pudoc-DLO, Wageningen ; Prosea foundation, Bogor, 1993 (réimpr. en 1996, 2005), 137 p. (ISBN979-8316-20-7)
(en) A.N. Rao and V. Ramanatha Rao (éd.), Rattan: taxonomy, ecology, silviculture, conservation, genetic improvement and biotechnology : proceedings of training courses cum workshops, Sarawak, Sabah, April 14-26 1996, International Plant Genetic Resources Institute, New Dehli, 1997, 255 p. (ISBN92-9043-350-7)
T.C.H. Sunderland, Recherches sur les rotins (palmae) en Afrique : un produit non ligneux important dans les forêts d’Afrique centrale, Recherches actuelles et perspectives pour la conservation et le développement, Département des forêts, FAO, Rome, 1999.
(en) T. C. H. Sunderland, Rattan Resources and Use in West and Central Africa, Publication of the African Rattan Research Programme of the Limbe Botanic Garden, Limbe, Cameroun, 2004.